Dites à votre médecin que LE CHOLESTEROL EST INNOCENT

 il vous soignera sans médicament du Docteur Michel de Lorgeril

 

Voilà près de 50 ans qu’on mène une guerre sans répit au cholestérol sous prétexte qu’il est un facteur majeur de risque cardiovasculaire. Résultat : plus de 6 millions de Français sont traités et ceux qui ne le sont pas s’angoissent.
Le Dr de Lorgeril met en pièces le mythe du cholestérol et dénonce la prescription abusive des médicaments anticholestérol. Aussi incroyable que cela paraisse, celle-ci ne repose sur aucune preuve scientifique, mais sur une idéologie dictée par des intérêts économiques.
Parmi les révélations de ce livre : Le cholestérol bouche les artères ? NON. L’élévation du cholestérol augmente le risque de mourir d’une maladie cardiaque (de façon proportionnelle)? NON. Abaisser son taux de cholestérol par un régime ou un médicament réduit le risque de mourir d’un infarctus ? NON. La guerre anti-cholestérol a le grave inconvénient de nous détourner des véritables solutions pour protéger notre cœur.
C’est pourquoi tout au long de l’ouvrage, l’auteur les délivre sous la forme de conseils pratiques.
Michel DE LORGERIL est cardiologue et chercheur au département des sciences de la vie du CNRS et à la Faculté de Médecine de Grenoble. Internationalement reconnu pour ses travaux sur l’infarctus du myocarde et les acides gras oméga-3, il est aussi le promoteur de concepts tels que le French paradox et la diète méditerranéenne qui ont révélé l’importance de l’alimentation pour la santé.
Bonne lecture…

 

la curcumine

…. La star de la médecine ayurvédique

C’est quoi?

En sanscrit, le curcuma se nomme harida. En langue arabe, il porte le nom de Kourkoum d’où vient le nom français. Le curcuma longa est utilisé de façon intensive dans la médecine ayurvédique et chinoise. C’est aussi le principal ingrédient du curry, mélange d’épices omniprésent dans la cuisine indienne.

En Inde, on consomme de 2 à 4 gr de poudre séchée de racine de curcuma longa par jour. De cette racine, on extrait les substances actives : curcuminoïdes (curcumine) qui sont présents à des taux allant de 1 à 5% maximum. 200 mg de curcumine pure correspond sont donc l’équivalent de 4 à 20 gr de poudre de racine de curcuma longa

Comment ça fonctionne ?

La curcumine est un agent anti-oxydant très puissant. De plus il est doté de capacités anti-inflammatoires exceptionnelles. Il joue aussi un rôle prépondérant dans la détoxification cellulaire.

C’est pour qui ?

Les propriétés exceptionnelles de la curcumine ont fait d’elle la star des médecines asiatiques où elle est considérée comme un protecteur digestif complet. Ses propriétés anti-inflammatoires multiples ont aussi été abondamment exploitées. Il n’est donc pas étonnant de retrouver des résultats positifs dans les indications suivantes : douleurs rhumatismales, polyarthrite rhumatoïde, ulcères gastroduodénaux, protection de la muqueuse gastrique contre Hélicobacter Pylori, colite ulcéreuse, dyspepsie, protection et détoxification hépatique.

De plus, des données épidémiologiques indiquent que la prévalence de plusieurs cancers du côlon, du sein, de la prostate et des poumons est moins élevée dans les pays asiatiques où l’on consomme beaucoup de curcuma (la non-consommation de lait d’origine animale a aussi sa part dans ces résultats).

Comment l’utiliser ?

A moins d’être un amateur de la cuisine hindoue, il est difficile de consommer plus de 5gr de poudre de curcuma longa par jour. C’est pourquoi, il faut se tourner vers des suppléments alimentaires dosés en curcumine. Pour bénéficier des bienfaits de la curcumine, une dose de 200mg à 400mg de curcumine pure par jour à prendre pendant ou après le repas, est adéquate.

Le conseil d’un biologiste

Bien vérifier le dosage en curcumine pure contenu dans le complément alimentaire.

Curcumine et curcuma longa, c’est totalement différent :

1 mg de curcumine c’est l’équivalent de 20 à 100 mg de poudre de curcuma longa !

De plus, certains extraits contiennent les 3 curcuminoïdes de la plante, c’est à privilégier.

La curcumine est beaucoup mieux absorbée en présence de pipérine (extrait de poivre). Pour les indications digestives, il est intéressant de coupler l’action de la curcumine à un probiotique de type lactobacille qui rééquilibrera la flore intestinale.

 

La levure rouge de riz bio

…Pour le contrôle naturel du cholestérol…

C’est quoi ?

La levure (Monascus Purpureus) rouge de riz est un type de champignon microscopique cultivé sur du riz. Elle contient un pigment posséedant une teinte rouge prononcée, c’est donc bien la levure qui est rouge et non le riz.

Comment ça fonctionne ?

Les levures rouges contiennent un pourcentage de statines naturelles appelées Monacolines.

La principale Monacoline (la Monacoline K) est chimiquement identique à la Lovastatine, un médicament de synthèse hypocholestérolémiant.

Les Monacolines sont donc des inhibiteurs d’une enzyme l’HMG-CoA réductase indispensable à la synthèse du cholestérol et … du Co-enzyme Q10.

La levure de riz rouge vous aidera à faire baisser votre taux de cholestérol. Il faut aussi remarquer qu’il existe plusieurs types de Monacolines dans cette levure rouge et que donc son action ne se limite pas seulement à cette seule Monacoline K…. C’est tout bénéfice pour vous et votre cholestérol.

Il faut donc vérifier les taux de Monacoline K du nutriment, en effet ceux-ci varient de 0.3% à 1.5%.

Pour être efficace, il faut un dosage d’environ 10mg, c’est à dire 600mg pour un taux en Monacoline K standardisé à 1.5%. Il ne faut jamais hésiter à demander conseil à un professionnel qui vous guidera pour faire un choix efficace.

C’est pour qui ?

En dépit d’un régime hypocholestérolémiant, certaines personnes ne parviennent pas à diminuer leur cholestérol, la levure rouge de riz peut les y aider.

Le conseil d’un biologiste

Choisir une levure rouge de riz dosée à 1.5% en Monacoline et issue de l’agriculture bio si vous pouvez.

Cependant, la Monacoline même issue de l’agriculture biologique diminue les taux de Co-enzyme Q10 sanguins.

Il est préférable d’y associer l’Ubiquinol (Q10H2, environ 25mg) pour éviter fatigue, crampes et autres dysfonctionnement musculaires.

Pour en savoir plus sur le cholestérol :

N’hésitez pas à découvrir le livre du Docteur Michel de Lorgeril « Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent, il vous soignera sans médicament » auprès des Editions Lourex

 

LE LAIT, un poison?

On ne peut aborder ce sujet sans parler d’Albert Cohen,surnommé aux U.S.A « l’homme anti-lait ».

Son site internet : www.notmilk.com.

Il a écrit l’un des livres les plus fascinants et les plus documentés sur ce sujet : « MILK, The deadly poison » (le lait, poison mortel) qui a fait grand bruit aux U.S.A. Il n’est pas encore traduit en français.

Dans sa dédicace, il s’adresse à « toutes les personnes dans le monde qui souffrent de toutes sortes de troubles de santé sans être conscients de l’origine alimentaire de leurs maux. Puissent-elles découvrir que la fontaine de jeunesse, pour elles, leurs enfants et les générations futures, pourrait bien venir de simplement éliminer le lait de leur vie ! »

Écrit par un biologiste, ce livre montre comment les autorités sanitaires ont été perverties par les grandes multinationales qui, dans leur recherche de profit sans cesse croissant, ont mené notre société au bord du suicide nutritionnel.

Le lait, au fil des ans, malgré sa blancheur, est devenu pour les cellules de notre corps l’équivalent des marées noires qui se sont déversées des bateaux pétroliers échoués sur les côtes.

Au départ, le lait est déjà un aliment totalement inadapté à l’homme. Il élève le cholestérol sanguin et les graisses du sang parce qu’il contient du cholestérol et des graisses polyinsaturés.

Si vous consommez autant de produits laitiers qu’un américain moyen, vous absorberez une quantité de cholestérol équivalente à celle de 53 tranches de lard quotidiennes.

Si vous avez 54 ans, vous avez suivi ce régime pendant 52 ans, ce qui correspond à 19 345 tranches de lard par an, soit en tout plus d’1 million de tranches de lard !
Réalisez vous que dans 1 seule glace se trouve autant de cholestérol que dans 6 tranches de lard ?

N’est-il pas extraordinaire qu’un corps humain puisse résister à une telle avalanche de graisses ?

Le lait est trop riche en protéines, qui pour être éliminées par le corps, obligent celui-ci à mobiliser son calcium.

Du coup, les produits laitiers que les personnes âgées absorbent sont l’une des causes principales de l’ostéoporose ! La pasteurisation et l’upérisation en font un produit dénaturé et biocidique. Le lait contient 300 fois plus de caséine que le lait maternel. Cette caséine est une colle puissante qui encrasse l’organisme de façon dramatique.

La multinationale Monsanto a produit une hormone de croissance destinée à augmenter la production de lait.
Grâce à ses bénéfices colossaux, elle a pu soudoyer les autorités sanitaires et politiques pour qu’elles laissent mettre sur le marché ce produit sans avoir évalué sa toxicité.

Les éleveurs auxquels on a imposé cette hormone se sont retrouvés avec des vaches qui produisaient presque 50 litres de lait par jour (auparavant, elles en donnaient moins de 10 litres) mais faisaient des infections nombreuses et ils ont dû utiliser des antibiotiques en quantité.

Les taux d’antibiotiques dans le lait sont 100 fois plus élevés qu’il y a quelques années et les autorités sanitaires se sont contentées d’élever les normes limites autorisées.

Aux U.S.A, sur les 23 mille tonnes d’antibiotiques fabriqués chaque année, près de la moitié est utilisés pour le bétail !

Cette administration de doses sub thérapeutiques d’antibiotiques au bétail crée de plus en plus de souches de bactéries résistantes aux antibiotiques, ce qui pose un problème de santé publique de plus en plus grave.

Quand vous buvez du lait ou mangez un yaourt, vous ne vous doutez pas que vous êtes en train d’absorber des antibiotiques qui vont détruire votre flore intestinale et affaiblir votre système immunitaire. De plus, si vous êtes allergique à un antibiotique comme la pénicilline, vous risquez de tomber malade sans comprendre que vous en avez absorbé à votre insu.

Il est hallucinant de constater qu’aux U.S.A, 80% des vaches souffrent de leucémie.

Le lait de ces vaches est-il sans danger pour l’homme ?

Quand les études scientifiques ont montré que cette hormone de croissance stimulait, chez l’homme, le développement de cancers, l’association des médecins américains, l’O.M.S et les autorités sanitaires ont préféré fermer les yeux car les intérêts économiques passent avant la santé des populations.

Depuis 1994, année où l’hormone de croissance obtenue par génie génétique fut autorisée pour stimuler la production des vaches laitières, une véritable épidémie de cancers lymphatiques a frappé les U.S.A.

Ce type de cancer, rare jusqu’alors, tue plus que les cancers du sein, de la prostate, du pancréas et des organes génitaux réunis.
Les citoyens américains sont devenus, sans le savoir, des cobayes qui absorbent de l’hormone de croissance à travers les produits laitiers dont ils consomment 90 milliards de kilos chaque année.

Pourtant l’Europe a résisté et, malgré la pression des multinationales américaines (notamment le dossier fourni par Monsanto qui ne comptait pas moins de 23 000 pages) la commission du Marché Commun qui a étudié la question a refusé l’utilisation de l’hormone de croissance car elle estimait que les preuves de son innocuité n’étaient pas suffisantes.

Avec la passion d’un détective, A.Cohen, « l’homme anti lait », a mis en évidence, de façon irréfutable parce que prouvée par des documents officiels, la façon dont le public américain a été trompé. Au lieu de faire connaître les facteurs nutritionnels qui créent ou favorisent le cancer, on a continué à détruire les tumeurs avec la chirurgie et la chimiothérapie.

C’est plus rentable, n’est ce pas ?

Alors qu’aux U.S.A, du temps de nos parents, explique Cohen, une femme sur 20 était atteinte de cancer du sein, aujourd’hui 1 sur 3 est touchée !

Quand on pense aux milliers d’enfants souffrant de leucémie et traités par des chimiothérapies toxiques, on a le cœur brisé devant tant d’inconscience.

Le célèbre Docteur Spock, le pédiatre le plus connu des U.S.A a écrit sur le dos de couverture du livre d’A.Cohen : « le lait de vache a été vendu par le passé comme un aliment parfait. Nous voyons maintenant que ce n’est pas du tout un aliment parfait et le gouvernement ne devrait pas soutenir ceux qui veulent encore le faire croire. »

On découvre ainsi que la civilisation moderne (et surtout les U.S.A, qui en sont le pays phare) est dirigée par des lobbies dangereux pour la santé publique, lobbies qui ont infiltré les administrations et trompé le public depuis des années par des publicités mensongères.

Ainsi, Nestlé, affirme dans sa publicité pour les produits pour bébés, que « provenant des cultures contrôlées en permanence par les spécialistes Nestlé, tous ces produits sont exempts de substances nocives. L’enfant reçoit ainsi, en tout sécurité, une alimentation dont la densité nutritionnelle correspond parfaitement à ses besoins. »
Stupéfiantes contre-vérités !

Pourtant certains des médecins et des scientifiques qui travaillent dans cette grande multinationale n’ignorent pas les informations que nous citons. Mais ils sont tenus de garder le silence pour ne pas perdre leur poste. Ainsi, sont perpétrés les mythes officiels qui correspondent aux impératifs du profit économique.

Il y a quelques années, un groupe d’écologistes avait montré que Nestlé était responsable de la mort de millions d’enfants en poussant les mères à renoncer au lait maternel pour donner à leurs enfants du lait en poudre.
Sous la pression du public scandalisé, la multinationale a légèrement tempéré son ardeur publicitaire sur ce point mais elle continue à tromper les consommateurs en leur faisant croire à l’innocuité de ses produits qui sont pleins de pesticides, d’additifs chimiques, de sucre raffiné, d’édulcorant de synthèse comme l’aspartame (malgré de nombreuses études prouvant son hyper toxicité, ce produit est encore autorisé) de vitamines artificielles et de produits laitiers hautement néfastes pour la santé !

Les multinationales de l’alimentation industrielle et de la chimie existent et prospèrent parce que nous achetons leurs produits.
Si nous ne voulons pas être sacrifiés sur l’autel de leur inconscience, il est temps de nous éveiller aux lois de l’alimentation végétale, variée et vivante, qui permet de vivre en pleine santé, plutôt que de souffrir sans cesse de constipation, d’allergies, de douleurs, de raideurs, de cancers, de diabète et de ces mille et un troubles qui montrent tout simplement que notre organisme est intoxiqué.

Des millions d’américains souffrent d’anémie.

La cause la plus fréquente de cette carence est un manque de fer. La consommation de lait entraîne souvent des saignements de la muqueuse intestinale, par un phénomène de réaction allergique aux protéines du lait, ce qui fait perdre beaucoup d’hémoglobine. Les principaux symptômes de l’anémie sont la faiblesse, la fatigue, la dépression et l’irritabilité.
On remarque cette anémie par perte de fer chez un tiers des enfants nourris au lait de vache, alors que ceux nourris au lait maternel n’en souffrent pas.

On a pu lire dans le New England Journal of Medicine de juillet 1992 : « Des études ont suggéré que les protéines du lait pourraient jouer un rôle dans l’apparition du diabète chez l’homme. Les patients diabétiques insulino-dépendants produisent des anti-corps contre les protéines du lait qui participent au dysfonctionnement des îlots de Langerhans, dans le pancréas, qui fabriquent l’insuline. Il s’agit d’une réaction auto-immune. »
Et dans le « Lancet » de décembre 1996 : « les protéines du lait ont une particularité : dans les pays industrialisés elles sont les première protéines étrangères qui pénètrent dans le tube digestif des enfants, puisque la plupart des laits qui remplacent le lait maternel sont fabriqués avec du lait de vache. Il est possible que ces protéines induisent une réponse immunitaire qui peut être à l’origine de nombreux troubles et maladies d’enfance.« 

D’autres chercheurs ont écrit que « de nombreuses études montrent que le lien entre la consommation de lait et le diabète juvénile est indéniable. »

Le véritable problème à la base du développement du diabète est l’énorme quantité de graisses contenue dans l’alimentation occidentale, à cause de la viande, des produits laitiers et des œufs.
Des expériences faites avec des étudiants en médecine ont montré qu’en 1 semaine à peine d’alimentation très riche en graisse 50% des étudiants étaient devenus diabétiques.

Les 80% des protéines du lait et du fromage sont constitués de caséine, qui est une puissante colle, celle qui fait notamment tenir les étiquettes sur les bouteilles de bière. Essayez d’arracher une des ces étiquettes et vous verrez la force de cette colle ! On utilise aussi la caséine pour coller les meubles !!!

Pensez à ce que cette colle peut provoquer dans votre organisme. Comme la caséine est une protéine étrangère, le corps crée des anticorps pour la neutraliser. Cette réaction antigène-anticorps fait sécréter de l’histamine et engendre une intense production de mucus, voire de pus. De nombreux chercheurs pensent que la caséine est la principale substance responsable des inflammations articulaires que l’on voit dans les arthrites rhumatoïdes. Cela expliquerait pourquoi la suppression de tout produit laitier permet la plupart du temps une guérison rapide de ces affections.

Il faut 5 kilos de lait pour faire 1 kilo de fromage, la concentration des hormones contenues dans le lait est importante. Or, chaque goutte de lait contient 59 hormones différentes, comme des œstrogènes, de la progestérone, de la prolactine…Pouvez vous imaginer les effets que ces hormones peuvent avoir sur la santé physique et mentale des populations ?

Le 40% des aliments consommés par les américains sont du lait, des produits laitiers sous forme d’icecream, de yoghourts, de fromages et autres dérivés. Un kilo de fromage peut contenir 20 fois la quantité d’hormones qui se trouve dans 1 kilo de lait.

Robert Cohen s’est écrié : « le lait, c’est surtout de la colle, des hormones et du pus ! »

Il a même découvert que les végétariens, juifs et musulmans, qui consomment des produits laitiers, seront étonnés d’apprendre qu’aux U.S.A, il mangent du cochon sans le savoir !

En effet, la vitamine D2 qui était ajoutée au lait (et qui provenait d’un mélange d’algues et de bactéries exposé à la lumière ultraviolette) a été remplacée, parce qu’elle donnait un goût amer aux produits laitiers, par de la vitamine D3 qui est extraite de la PEAU OU DU CERVEAU DE PORC !

Le lactose des produits laitiers stimule l’absorption de calcium par l’intestin, et ce calcium va durcir la paroi des artères, où se déposent déjà le cholestérol et les acides gras saturés des aliments d’origine animale.

En plus de tous le problèmes décrits, le lait présente une vraie poubelle puisque la vache concentre tous les pesticides, herbicides et poisons qui sont contenus dans l’herbe ou les granulés qu’elle mange.

A diffuser largement, il est grand temps que les gens ouvrent les yeux…

Ô Marketing, quand tu nous tiens…

Quelques mythes français…

 

 

Les champignons de Paris

De Paris, ils n’ont que le nom. Pire : 88% d’entre eux viennent de l’étranger, les rayons des supermarchés regorgeant le plus souvent de champignons issus des États-Unis, de la Chine ou des Pays-Bas, les 3 principaux pays producteurs.

En France, s’ils ont pendant longtemps été élevés dans la capitale, les fameux champignons ne poussent désormais plus qu’à Saumur.

La ville dans le Maine-et-Loire regroupe 70% de la production nationale (mais 12% seulement du global consommé).

 

La charcuterie corse

Elle est présentée comme un des plus purs produits du terroir français. Et pourtant la charcuterie corse ne dispose d’aucune «appellation d’origine contrôlée». Le consommateur ne trouvera donc sur les rayons des supermarchés du continent que des produits dont les matières premières proviennent d’ailleurs à plus de 90 %.

Ainsi, par exemple, malgré les têtes de Maure et les mentions «produit de l’île de Beauté» sur les étiquettes, le saucisson d’âne est importé d’Argentine et les jambons sont pour la plupart composés de carcasses issues de Chine.

 

Le jambon d’Aoste

Voilà une des plus belles et des plus juteuses escroquerie « marketing » !

C’est l’un des jambons les plus consommés de France, mais ce dernier n’a rien à voir avec la charcuterie de la ville italienne d’Aoste. Ce produit est en fait fabriqué en France à partir de carcasses chinoises et américaines, dans une commune du même nom mais située en… Isère. Et contrairement à son homologue transalpin, qui est un jambon cru, il s’agit d’un jambon mi-cuit.

Le subterfuge a fonctionné pendant des années puisque la marque déposée «Jambon d’Aoste » a été la propriété du groupe Aoste (Cochonou/Justin Bridou), leader français de la charcuterie. Il aura fallu que la Commission européenne interdise récemment (2008) l’utilisation de cette appellation qui prête à confusion pour que l’ambiguïté cesse. La marque a depuis été renommée «Jambon Aoste» et non plus «Jambon dAoste».

 

L’A.O.C de Bretagne

Présentée comme de purs produits du terroir français, les charcuteries de Bretagne disposent d’une «Appellation d’origine contrôlée» qui n’oblige les fabricants qu’à une seule chose : posséder au moins un lieu d’emballage ou de transformation en Bretagne.

Le consommateur trouvera donc sur les rayons des supermarchés des produits dont 82 % des matières premières proviennent du monde entier. Ainsi, les carcasses de porcs, souvent issues de Chine, de Hollande ou de Pologne, le sel dit de Guérande, importé d’Argentine et du Vietnam, et les boyaux d’andouille importés pour la plupart de Corée.

L’andouille dite de Vire, et autres charcuteries «De Bretagne», rejoignent ainsi la mythologie des produits bretons, comme le beurre et la pâtisserie, dont 73 % proviennent de la communauté Européenne et d’Asie.

 

La moutarde de Dijon

Pour faire de la moutarde de Dijon, il faut du vinaigre, de l’eau, du sel et des graines du… Canada ! Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la moutarde utilisée dans la préparation de la fameuse pâte ne vient pas de la région de Dijon.

Une explication à cette bizarrerie : à la fin de la Seconde Guerre mondiale, avec la mise en place de la Politique agricole commune, les agriculteurs se sont désintéressés de la moutarde, qui ne leur permettait pas de recevoir les subsides de l’Union européenne. Résultat : 90 % de la production utilisée pour la moutarde de Dijon provient maintenant du Canada.

 

Le couteau Laguiole

L’abeille, la lame fine légèrement relevée, la croix sur le manche… Beaucoup croient que ces symboles apposés sur les couteaux de Laguiole sont des signes d’authenticité.

Erreur ! Malgré leur charme et leur beauté, elles n’attestent ni de l’origine du couteau ni de sa qualité de fabrication. Parce que la marque du plus célèbre des couteaux français n’a jamais été déposée, Laguiole est depuis plus d’un siècle l’objet de contrefaçons en France et à l’étranger, 80 % proviennent de Chine et du Pakistan.

Résultat : moins de 10 % des Laguioles sont fabriqués dans le bourg aveyronnais!

 

Le savon de Marseille

Avec le pastis et la lavande, c’est l’autre symbole de la Provence. Seul hic, les savons estampillés «savon de Marseille» ne sont pas fabriqués dans le Sud-est. Car si les savonniers marseillais ont inventé le procédé de fabrication au Moyen-âge l’appellation n’est pas protégée.

Résultat : les plus gros fabricants sont aujourd’hui les Chinois et les Turcs ! Et les huiles végétales utilisées pour la fabrication du savon, notamment l’huile de palme, proviennent de l’étranger, les savons passant à Marseille uniquement pour être parfumés et emballés.

 

Le melon charentais

C’est l’emblème du melon français. Jaune ou vert, le melon charentais fait la fierté des producteurs de la région de Cognac où les sols argilo-calcaires sont parfaitement adaptés à sa culture. Mais contrairement à son cousin de Cavaillon, le melon de Charente ne possède pas d’AOC.

Résultat : 80 % des melons charentais que l’on trouve sur les étals ne viennent pas de Cognac mais d’Espagne, du Maroc, des Caraïbes, de Chine et du Sénégal…

 

Le camembert

Emblème suprême de la gastronomie française, le camembert de Normandie est de loin le fromage le plus copié dans les rayons des supermarchés.

Une explication à ce phénomène : tombé dans le domaine public, le nom «camembert» peut-être utilisé par n’importe quel producteur de n’importe quel pays. Et malgré une AOC «Camembert de Normandie», qui existe depuis 1983, de nombreux fabricants utilisent le terme très proche de «Camembert fabriqué en Normandie».

Les différences : du lait pasteurisé au lieu du lait cru, un affinage raccourci et une fabrication qui n’est soumise à aucune règle..

Ils sont présentés comme les fleurons du terroir, mais quand on y regarde de plus près on découvre que leur appellation est douteuse. Matières premières importées de l’étranger (30 % du lait vient de Chine, 50 % de toute l’Europe). Étiquetage souvent mensonger, additifs non précisés, fabrication hors des limites de la région ou seuls existent de vagues bureaux de courtiers.

Dans les rayons des hyper et super, il faut vraiment les chercher : les vrais Camenbert ont l’estampille « Appellation d’Origine Contrôlée » et sont spécifiés « au lait cru ».

 

L’huile d’olive

Rare et chère, l’huile d’olive française est certainement le produit qui compte le plus d’étiquetages frauduleux. En 2006, seulement 56 % des échantillons analysés étaient «conformes» à la réglementation, certaines bouteilles contenant jusqu’à 50 % d’huile de tournesol ou présentant une fausse indication d’origine ou de variété d’olive.

Le symbole de la cuisine méditerranéenne ne comptant que sept appellations d’origine protégée et une AOC « Huile de Provence », de nombreux producteurs jouent en effet sur la confusion en ajoutant sur les étiquettes des paysages évoquant le Sud ou des origines non reconnues comme « huile de Provence Côte d’azur ».

Sans parler de l’une des fraudes les plus courantes qui consiste à remplacer l’huile d’olive par l’huile de grignons d’olive, un résidu de la pâte d’olives difficile à détecter pour le simple amateur. Bonne journée quand même. De plus, la circulation des fruits étant totalement libre en Europe, des camions entiers d’olives espagnoles ou italiennes arrivent, de préférence de nuit, dans les moulins à huile provençaux et languedociens pour faire de la bonne huile «de chez nous» !

(source : Ministère de l’agriculture – France)

La face cachée de la nourriture

 

Une fois de plus, Alex Jones nous parle de la nourriture de tous les jours, la nourriture courante dite aussi la « bouffe industrielle ».

Malgré une vérité quelque peu « effrayante », la conclusion reste très positive…

http://www.dailymotion.com/video/xe8x24_nourriture-le-grand-secret-alex-jon_newsundefined

 

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Un nouvel article du blog artdevivresain.over-blog.com

Des « humainsburgers » indécomposables…
L’ADVS a mené son enquête et a trouvé….

Cliquez ici

Les fruits à coques

La consommation de fruits oléagineux a encore bien mauvaise réputation auprès du grand public. Les femmes ne veulent pas en consommer sous prétexte que cela fait grossir, les hommes n’y trouvent aucun intérêt et les enfants préfèrent les aliments mous et sucrés! Il convient donc de réhabiliter ces précieux fruits à coques qui regorgent de bienfaits nutritionnels

 

  • Une densité calorique élevée mais des calories pleines… Certes, ce sont de véritables petites bombes caloriques (5-6 calories/g) mais à l’inverse des gourmandises sucrées fournissant des calories vides, les fruits à coques apportent avec eux un lot de nutriment essentiels à l’organisme qui les classent parmi les « calories pleines ».
  • Une forte teneur en protéines végétales… Ils contiennent entre 8 et 30g de protéines pour 100g soit parfois plus que 100g de viande ou poisson. Ils apportent aussi de la L-arginine, un acide aminé favorisant la dilatation et l’élasticité des vaisseaux sanguins.
  • Des acide gras mono et polyinsaturés… Côté lipides, ils sont naturellement riches en acides gras mono et polyinsaturés ainsi qu’en vitamine E.
  • Une concentration de micronutriments… Ils regorgent de vitamines du groupe B (B1, B2), calcium, magnésium, phosphore, potassium, zinc, sélénium…
  • Une bonne source de fibres… Ils renferment des fibres en proportions variables (4-12%) qui facilitent le transit intestinal.
  • Comment et quand les conseiller au quotidien?… Il est important qu’ils puissent retrouver une place dans l’alimentation quotidienne et tordre ainsi le cou aux idées reçues car OUI ils sont gras et OUI ils sont caloriques MAIS pourtant indispensables à la satiété et au bon fonctionnement des cellules. En cas de petites faims, avant et pendant un effort musculaire, dès le petit-déjeuner, dans les salades vertes, entiers ou broyés dans les desserts à base de chocolat, dans les pains ou les pâtes à tartiner faits-maison. Ils sont à conserver à l’abri de l’air et de l’humidité
  • Précautions… Attention aux personnes sujettes aux calculs rénaux, allergiques aux fruits à coques

 

 

ZOOM SUR L’AMANDE….Star incontestée parmi les fruits oléagineux à coque

 

Qu’elle soit entière, complète ou blanchie ou sous forme de boisson végétale, pâte ou purée, l’amande saura ravir autant les palais que les fonctions vitales de l’organisme

LES JUS VERTS

 

A priori, il n’est pas très paléolithique de consommer un jus de fruits et de légumes frais obtenu par extraction ou par mixage (smoothie). Mais la mode des jus verts et smoothies sont une source de micronutriments végétaux qui nous rapproche des apports ancestraux.

Les jus sont produits par extraction (du liquide & des nutriments), ce qui met les fibres de côtés. Les smoothies, par contre, contiennent l’entièreté du fruit ou du légume, que l’on mixe, avec les fibres, ce qui les rend beaucoup plus intéressants.

Lorsqu’on analyse l’apport en micronutriments de l’alimentation de l’ère paléolithique, il semblerait effectivement que  celle-ci était constituée de nombreux végétaux à feuilles vertes. Et on sait que ceux-ci sont très riches en minéraux, vitamine (A,E,K,… et autres micronutriments).

Il est dit que les végétaux à feuilles vertes foncées font tout simplement partie des sources alimentaires les plus riches en nutriments de la planète.

Epinards, feuilles de betterave, bettes (ou blette, bette à carde, poirée, jotte) seront de très bons choix comme base de smoothies verts.

A cela, vous pourrez ajouter d’autres végétaux à feuilles vertes comme la roquette, laitue, le persil, kale (très à la mode), oseille, pissenlit, cresson ainsi que d’autres légumes comme le concombre, fenouil, céleri, courgette, etc., il n’y a pratiquement pas de limites.

Selon vos besoins et vos goûts, d’autres éléments pourront être encore ajoutés mais en moins grande quantité que les légumes verts comme un fruit (pomme, citron, poire, fruits rouges…) ainsi que des tubercules ou des aromatiques (coriandre, basilic, gingembre, curcuma…)

Il est également important de varier vos apports en légumes verts puisque chacun apporte un ensemble de micronutriments légèrement différent.

Les végétaux verts contiennent aussi quelques anti-nutriments qui sont les moyens de défense des plantes. Ils sont présents en très petites quantités et peu de personnes y sont vraiment intolérantes. Seul une consommation très excessive d’un seul légume vert pourrait occasionner une réaction.

Mais cela reste très rare. Un apport en légumes verts apportera prioritairement tout un ensemble de micro nutriments très importants pour la santé.

Comme par exemple, le magnésium, lié à plus de 300 processus physiologiques dans notre corps dont la production d’ATP pour l’énergie. Nos ancêtres du Paléolithique avaient une alimentation qu’on estime 366% plus riche en magnésium que la nôtre, entre autre par une consommation importante de végétaux à feuilles vertes

Leur apport en calcium était également plus important que le nôtre alors qu’ils ne consommaient pas de produits laitiers. Là aussi, les végétaux à feuilles vertes –en particulier le kale- sont la meilleure source de calcium que nous pouvons avoir.

Il en est de même pour le potassium et dont l’alimentation de nos ancêtres était plus riche de 316%! On retrouve ce potassium dans les bettes et les feuilles de betteraves.

C’est entre autres, grâce à ce potassium que les smoothies verts permettent de réguler l’acidité du corps.

Les légumes verts permettent d’équilibrer l’acidité occasionnée par pratiquement tous les autres aliments : viande, produits laitiers, céréales et produits industriels…

Et on pourrait encore citer l’apport en acide folique (vitamine B9) et en bétaïne, tous deux responsables de la régulation du niveau d’homocystéine. Le corps a besoin de transformer cet acide aminé, grâce à l’acide folique. S’il ne peut le faire, son niveau devient trop élevé et occasionne des affections cardiovasculaires et il semblerait le développement de la maladie d’Alzheimer.

On retrouve la vitamine B9 dans les végétaux à feuilles vertes et la bétaïne particulièrement dans les épinards.

 

Il est évident que les smoothies verts ne remplacent pas un repas complet et qu’il est essentiel de garder des légumes entiers, que l’on mange et que l’on mâche, chose importante pour la digestion.

Mais cela permet un apport en micronutriments dont on manque bien souvent

Aaron Russo sur le 911, CFR, Rockfeller…

Témoignage d’autant plus troublant qu’Aaron est décédé le 24 août 2007 soit 6 mois après cette interview, officiellement des suites de son cancer…

 

Aaron Russo sur le 11 septembre, le CFR et Rockefeller
envoyé par Libre.

 
 
Les déclarations chocs de l’ancien président italien Cossiga réputé pour son parler-franc.
Selon lui, comme tous les dirigeants occidentaux le savent, mais aucun ne le dit, ce sont les services secrets qui ont perpétré les attentats du 11 septembre