COLORANTS, CONSERVATEURS et autres ADDITIFS…

(Extrait du livre « le nouveau guide des additifs de Anne-Laure Denans)

 

LES COLORANTS ALIMENTAIRES (E 100)

Le terme colorant regroupe les additifs qui ajoutent ou redonnent de la couleur à des denrées alimentaires.

Ce terme englobe à la fois les substances issues de la synthèse chimique et celles d’origine naturelle.

Ils permettent de corriger les défauts de coloration d’une denrée alimentaire et pour celles non colorées de leur donner de la couleur dans le but de les rendre plus attractifs.

Leur intérêt est de plus en plus débattus et leur génotoxicité potentielle est de plus en plus pointée du doigt.

Depuis les années 70, ils sont également soupçonnés de favoriser le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité chez l’enfant. A l’effet potentiellement génotoxique de ces colorants, pourrait s’ajouter celui des impuretés qu’ils contiennent. Une substance génotoxique pouvant conduire au cancer. Sans parler de l’effet cocktail de certains colorants.

LE DIOXYDE DE TITANE : Minéral qui se trouve sous forme de roche dans la nature. Utilisé comme additif pour ses propriétés de colorant blanc et d’opacifiant. Son pigment s’obtient par des traitements chimiques (…) On le trouve dans les bonbons (M&M’s, Haribo…), produits chocolatés, biscuits, chewing-gums (Hollywood, Airwaves...), médicaments et certains compléments alimentaires…(informations collectées en 01/17). De nombreuses études montrent qu’il passe la barrière intestinale et va s’accumuler dans différents tissus où il a un effet toxique. La rate et le foie sont les organes les plus à risques mais il existe également une toxicité sur le système endocrinien et reproducteur. Il est prouvé qu’il pénètre la paroi de l’intestin provoquant une baisse du système immunitaire. (…)

 

 LES ADDITIFS CONSERVATEURS (E 200)

 Les additifs conservateurs regroupent les substances prolongeant la durée de vie d’un aliment en le protégeant des altérations dues aux micro-organismes

 De nombreux aliments étant des denrées périssables, le défi de l’homme a toujours été de trouver des moyens d’empêcher le développement de micro-organisme afin de maintenir lesdits aliments comestibles le plus longtemps possible.

L’homme a d’abord découvert les techniques de salage, fumage puis pasteurisation, surgélation…. Aujourd’hui, les conservateurs sont largement employés dans l’industrie agroalimentaire.

Deux grands groupe existent : celui des substances minérales (nitrates, nitrites, sulfites, acide borique…..) et celui des substances organiques (acide sorbique, sorbate de potassium, acide benzoïque, parabènes, acide lactique….). Mais on trouve d’autres conservateurs qui ne font partie de ces groupes (EDTA, natamycine....)

Les industriels justifient leur emploi en tant que conservateur par le fait que nitrites et nitrates sont indispensable pour lutter contre la bactérie Clostridium botulinum, responsable d’une intoxication mortelle : le botulisme. Cependant, des solutions pour éviter les contaminations existent. D’ailleurs certains producteurs de charcuterie  n’utilisent pas d’additifs et n’exposent pas leur consommateurs à un risque de botulisme.

C’est notamment le cas de l’entreprise Rostain, productrice de jambon bio sans nitrites et nitrates ajoutés dont la direction déclare : « le spore de la bactérie botulique se développe à température ambiante. Or nous travaillons à des températures comprises entre 0° et 4°. Donc aucun risque pour le botulisme. Les fabricants  utilisant les nitrites le font surtout pour donner une couleur rose aux jambons, plus attrayante pour le consommateur« 

 

LES ADDITIFS ANTIOXYDANTS  ou Antioxygènes (E 300)

Les additifs dits « antioxydants » sont assez proches des conservateurs car ils ont pour but de prolonger la durée de conservation des aliments. Mais tandis que les conservateurs s’opposent à l’action des micro-organismes, les antioxydants sont là pour protéger les aliments de l’action néfaste de l’oxygène. Certaines substances peuvent jouer à la fois le rôle de conservateur et celui d’antioxydant.

Ce sont surtout les matières grasses qui sont sensibles à l’oxygène. Sous son action, il va se produire une réaction d’oxydation : l’aliment va se rancir, sa couleur, son goût vont se modifier…. Les antioxydants vont permettre de protéger l’aliment en limitant les réactions d’oxydation.

On peut distinguer 2 groupes principaux : les secondaires et les anti-radicalaires (…) Dans le 2nd groupe, on trouve des composés issus de la chimie comme le BHA, le BHT, le TBHQ ou encore les gallates.(…)

La plupart des conclusions de certaines études mentionnées dans le dossier EFSA ne sont guère rassurantes. D’ailleurs le dossier des additifs aux phosphates est actuellement réévalué.

(…) Il est de pratique courante chez les industriels  d’associer dans un même aliment, plusieurs antioxydants ayant des actions complémentaires ce qui permet de réduire la dose de chacun d’eux. Des études montrent que l’utilisation de l’un peut augmenter la toxicité de l’autre.

Par ex, le BHA augmente la toxicité pulmonaire du BHT, ce dernier favorisant l’accumulation du 1er dans les graisses corporelles chez l’homme. Par ailleurs les nitrites augmentent l’effet toxique du TBHQ au niveau de l’estomac, stimulant la prolifération des cellules de la muqueuse de l’estomac.

 

LES  ADDITIFS AGENTS DE TEXTURES (E 400)

On retrouve dans ce groupe les additifs qui agissent sur la texture de l’aliment. Les épaississants augmentent la viscosité de l’aliment, les émulsifiants assurent la stabilité d’une émulsion…. On peut également citer les gélifiants, les stabilisants et les agents liants.

Les molécules utilisées pour texturer les aliments peuvent être des protéines issues de l’œuf ou du lait ou des gélatines ou encore des protéines végétales, comme le gluten et les protéines de légumes secs. L’industrie emploie aussi des composés glucidiques comme les amidons, les pectines, le guar, la caroube, les carraghénanes, l’agar-agar.

 Les épaississants sont souvent controversés et les scientifiques ne sont pas forcément d’accord. Cependant un nouvel avis de l’EFSA est attendu très prochainement car jusque présent les données dont elle disposait ne permettait pas d’évaluer la toxicité réelle.

Les émulsifiants facilitent le passage de molécules étrangères dans notre circulation sanguine. Ces dernières déclenchent une réaction de notre système immunitaire qui est à l’origine de réactions inflammatoires, de pathologies auto-immunes….

De nombreuses publications mettent en évidence un lien entre la consommation d’aliments contenant des émulsifiants et l’augmentation de pathologies comme les maladies auto-immunes, allergies, maladies inflammatoires de l’intestin, syndrome métabolique…

Une étude récente (…) a montré que les 2 émulsifiants carboxyméthilcellulose et polysorbate 80 pourraient perturber la flore intestinale. Cet état inflammatoire favoriserait, d’après les chercheurs, l’apparition de cancer colorectal.

 

LES  ADDITIFS  ANTIAGGLOMERANTS (E 500)

 Ce sont des substances limitant l’agglutination des particules dans un aliment. Nombreux sont ceux renfermant de l’aluminium, largement mis en cause dans les maladies neurodégénératives.

(…) L’évolution a doté le tube digestif des êtres vivants, d’une couche de mucus piégeant les faibles quantités d’aluminium ingérées pour les éliminer. Donc, on pensait que si un peu venait à échapper à ce système, il serait éliminé et n’accéderait pas au cerveau. Or on sait aujourd’hui que cela est faux.

A cet aluminium alimentaire s’ajoute celui absorbé par la peau via déodorants, teintures capillaires, crèmes solaires et celui injecté avec les vaccins.

C’est par le biais de la transferrine, protéine de transport du fer, que l’aluminium échappe à l’élimination rénale. En effet, il se substitue au fer et utilise la transferrine comme transporteur franchissant ainsi la barrière hémato-encéphalique.

 (…)Selon l’EFSA, il est compliqué de faire une étude de la quantité d’aluminium que chaque source apporte. (…) L’aluminium étant connu pour s’accumuler dans les tissus, il a été décidé de remplacer la dose journalière acceptable par une dose totale provisoire….

 

 LES  EXHAUSTEURS DE GOUTS (E 600)

 Ce sont des additifs permettant de renforcer le goût ou l’odeur d’un aliment.

L’acide glutamique et les glutamates (sels de l’acide glutamique) en sont. Le plus utilisé étant le glutamate de sodium (MSG) ou glutamate monosodique (sel sodique de l’acide glutamique)

(…) C’est l’un des additifs les plus prisés par l’industrie agroalimentaire que cela soit dans les plats préparés, soupes, sauces, chips…

(…) L’acide glutamique est un acide aminé largement répandu dans la nature, que l’on trouve naturellement dans certaines protéines végétales mais également animales. Dans l’ensemble de ces aliments, il est lié aux autres acides aminés constitutifs de protéines ; seule une fraction plus ou moins importante de glutamate se trouve sous une forme « libre ». (…) Par ailleurs, notre organisme sait le fabriquer, notamment dans le système nerveux central où il agit comme neurotransmetteur excitateur jouant un rôle important dans les fonctions d’apprentissage et de mémorisation. Mais point trop n’en faut.

En revanche le glutamate, préparé en tant qu' »additif alimentaire », se trouve en libre en totalité et donc directement disponible.

Les industriels continuent de l’ajouter à leurs produits ultra transformés pour donner du goût et stimuler l’appétit. Comme les consommateurs se détournent du glutamate, ils ont trouvé la solution : incorporer des ingrédients qui en renferment sans avoir l’obligation de le déclarer. Voici la liste pour ne pas être abusé : extrait de levure, levure autolysée, levure hydrolysée, extrait de soja, isolat de protéine.

(…) Les cellules nerveuse s’accommodent mal d’une excès de glutamate et un débat a donc été ouvert afin de savoir si un excès peut provenir de l’alimentation. Selon le Pr J.Olney, la barrière hémato-encéphalique n’est pas totalement hermétique et peut donc laisser passer suffisamment de glutamate alimentaire dans le cerveau engendrant des effets néfastes même si le glutamate est apporté à dose modérée. Les autres études publiées ne confirment l’effet neurotoxique du glutamate que pour des doses alimentaires très élevées non compatibles avec les doses quotidiennes que nous ingérons.

 

 LES  ÉDULCORANTS (E 900)

 Grace à leur pouvoir sucrant très élevé sans apport de calories, ils ont été promus comme des solutions miracles pour combattre l’obésité, faire mincir… En effet, ils remplacent le sucre dans de nombreux aliments mais quels sont leur véritables effets à long termes et font-ils vraiment maigrir?

L’ANSES a décidé de faire le point et a rendu son avis en janvier 2015 déclarant que « ce travail pionnier ne démontrait aucun bénéfice de la consommation d’édulcorants intenses sur le contrôle du poids et la glycémie » et même si une consommation intense ne présente pas de risques au vu des données disponibles, elle souhaite malgré tout ne pas encourager son utilisation car des inconnues subsistent. (…)

Le Pr. JF Narbonne, qui a participé en tant qu’expert au dossier « aspartame » pour l’ANSES évoque « des interactions entre additifs ou édulcorants et certains colorants » ou encore « certaines conditions (grossesse, période in utero, enfance) dans lesquelles les systèmes de régulation tels que la barrière hémato-encéphalique fonctionnent plus ou moins bien« . (…)

La bonne solution : se déshabituer du goût sucré et éliminer les édulcorants de son alimentation.

(…)

LES  AMIDONS MODIFIES (E 1400)

 L’amidon est un glucide constitué d’un grand nombre d’unités de glucose réunies entre elles. On le trouve notamment dans la pomme de terre, le blé, le riz. Sous forme non modifiée, les amidons ont une intérêt limité pour l’industrie alimentaire.

Les industriels, afin de mieux répondre à leurs propres besoins, ont donc fait naître une industrie de l’amidon modifié (ou transformé). L’amidon modifié est capable de développer une viscosité dans le milieu dans lequel il est employé, ce qui lui donne un pouvoir épaississant dont les industriels ont souvent besoin. Il retient plus efficacement l’eau, résiste mieux à la chaleur et donc se prête mieux à la fabrication d’aliments ultra-transformés. (…)

L’amidon modifié est fabriqué à partir d’amidon naturel soit à l’aide de produits chimiques, soit à l’aide d’enzymes qui le dégradent partiellement.

En Europe, 12 amidons modifiés sont autorisés. (…)

La peur des graisses, répandue dans le public, a conduit les industriels à mettre sur le marché des produits allégés. Mais par quoi remplacer les graisses ? Les amidons modifiés sont de bons candidats.

Intégrés à des yaourts, les amidons modifiés leur apportent de la fermeté. Ainsi un yaourt pauvre en graisse peut prendre l’apparence d’un yaourt entier car les amidons modifiés s’insèrent parfaitement dans le réseau des protéines du yaourt. Ils donnent même à l’aliment un gout crémeux lorsqu’ils sont dégradés par une enzyme (amylase) présente dans la bouche. Ils servent aussi d’épaississants dans les crèmes desserts. Souvent associés à des sucres, ils entrent aussi dans la composition de sauces,  vinaigrettes, mayonnaise pauvre en graisse, apportent du croustillant aux biscuits et crackers, panures de nuggets poulet ou poissons, maintiennent la viscosité des aliments en conserve et permettent d’encapsuler des arômes « naturels » ou synthétiques (Par ex, certains plats à base de poulet renferment des arômes artificiels de poulet rôti, à savoir benzaldéhyde, benzothiazole, diméthyltrisulfide, acide 2-mercaptopropionique).

Cela permet aux fabricants de faire des économies, de donner plus de volume et d’allonger la durée de conservation.

La présence d’amidons modifiés montre en 1er lieu qu’on a affaire à des aliments ultra-transformés. Ces faux aliments lorsqu’ils sont consommés régulièrement sont associés à des risques plus élevés de diabète, obésité, maladies métaboliques, cardio-vasculaires et cancers. Il est donc conseillé d’éviter de consommer ce type de produit.

Ensuite, les amidons modifiés eux mêmes pourraient entrainer des effets indésirables selon leur caractéristiques. (…)

Les risques dépendent de la fréquence de consommation des aliments contenant ces additifs et de leur quantité présente dans l’aliment. Or la règlementation n’oblige pas les industriels à le préciser, pas plus qu’elle n’oblige à préciser le type d’amidon modifié.

 

LE  BIO ET LES ADDITIFS

Bonne nouvelle : Sur les 338 additifs autorisés dans l’alimentation conventionnelle, 51 seulement le sont dans l’alimentation biologique ! Et en grande partie, ce sont des produits d’origine naturelle ou agricole. Seuls sont autorisés les additifs qui sont indispensables à la préparation ou conservation de certains aliments transformés.

Seuls 7 des additifs conseillés d’éviter le plus souvent ou dans certaines circonstances sont autorisés en Bio avec des utilisations plus restrictives que dans l’alimentation conventionnelle. (…)

L’objectif du bio étant de se passer de ces additifs qui sont douteux pour notre santé, des programmes de recherche pour trouver des alternatives ont été mis en place. (…) Des solutions existent puisque certaines entreprises commercialisant de la charcuterie bio proposent  des produits « sans nitrites ni nitrates ajoutés » et tout cela grâce à différents procédés techniques naturels.

Les édulcorants intenses ne sont pas autorisés dans le Bio.

 

 

 

LE B.A-BA des additifs alimentaires

(Extrait du livre « le nouveau guide des additifs de Anne-Laure Denans)

 

QU’EST CE QU’UN ADDITIF ALIMENTAIRE ?

C’est une substance incorporée dans un aliment pour une fonction autre que nutritive.

Elle permet par exemple d’améliorer son aspect, sa texture, sa saveur, sa conservation…

La présence d’additif dans un aliment est le signe que l’on a affaire à un aliment transformé ou ultra transformé, c’est à dire dont la matrice a été déstructurée et plus ou moins bien « reconstituée » avec des ingrédients à bas prix.

Les ADDITIFS servent donc à réduire les coûts de fabrication, augmenter la durée de vie des produits, donner à un aliment un aspect engageant, un goût plus prononcé. (…)

Or la consommation d’aliments ultra transformés est liée dans les études épidémiologiques à un risque plus élevé de maladies chroniques.

(…)

GRANDES FAMILLES ET CODE EUROPÉEN

Ils sont identifiés par un code international à 3 chiffres. Le code européen le reprend, précédé d’un « E ».

(…)

Les principales familles sont :

  • Colorants : principalement dans les E100
  • Conservateurs : principalement dans les E200
  • Antioxydants : E300
  • Agents de textures : E400
  • Anti-agglomérants : E500
  • Exhausteurs de goûts : E600
  • Édulcorants : E900

A partir des E1000, il est plus compliqué de regrouper les additifs par fonction.

(…)

LES FABRICANTS RESPECTENT-ILS LES RÉGLEMENTATIONS EN VIGUEUR ?

(…) La DGCCRF rapporte, en juillet 2015, 59 anomalies sur 227 prélèvements. Les contrôles portaient sur des boissons et aliments sucrés. Il y aurait 25% de non conformité : présence d’additif non autorisés, utilisation de la dénomination de vente « colorant naturel » pour un colorant de synthèse, défaut de signalement de présence d’aluminium… (…)

 

LES ADDITIFS LES PLUS DANGEREUX ONT-ILS ÉTÉ ÉCARTÉS ?

(…) Les comités d’experts en charge des additifs alimentaires ont des difficultés à rassembler les études scientifiques nécessaires pour constituer leurs dossiers. En effet, les études ne sont pas nombreuses (…) et ne peuvent parfois déterminer de Dose Journalière Autorisée ne disposant pas de données suffisantes pour l’évaluation de génotoxicité (…) Enfin pour tout compliquer, « l’effet cocktail » c’est à dire l’interaction entre 2 ou plusieurs additifs présents dans les aliments est une inconnue pas facile à prendre en compte. (…) Malgré tout, on peut se réjouir de voir que certains ont été bannis et d’autres revus à la baisse.

 

LES CONSOMMATEURS PEUVENT-ILS OBTENIR LE RETRAIT DE CERTAINS ADDITIFS ?

(…) Des consommateurs qui boudent ou boycottent un produit contenant des additifs potentiellement à risque, voilà qui peut conduire l’industriel à prendre les devants et à retirer les additifs en question de ses produits !

A titre d’exemple, le groupe Système U a supprimé plusieurs additifs de ses produits de marque U dont le glutamate, l’aspartame, le BHA, plusieurs colorants contenant du dioxyde de titane…. ainsi que les caramels E150c et E150d. (…)

LE NOUVEAU GUIDE DES ADDITIFS

….. De Anne-Laure DENANS et La Nutrition.fr

Préface du Professeur Jean-François  NARBONNE

 

Un formidable outil informatif et pédagogique mis à la disposition des consommateurs, » selon le Pr Narbonne. Il permet d’identifier les additifs sûrs et ceux qui ne le sont pas. C’est le seul guide à jour des données scientifiques.

Voici le premier guide sur les additifs basé sur la science. Vous saurez en quelques secondes si un aliment peut être acheté sans inquiétude.

Vous découvrirez ce que cachent réellement les codes ou les noms compliqués qui figurent sur les emballages : des additifs sans risque comme le E 330 ou le E 920, ou plus problématiques comme le E 250 ou le E 621.
Comment les auteurs ont procédé ?

Pour classer les 338 additifs autorisés, l’auteur et l’équipe de LaNutrition.fr ont examiné les études scientifiques et défini 4 catégories :

  • Rouge : additif qu’il vaut mieux éviter
  • Orange :  à éviter dans des circonstances précises
  • Gris : additif douteux
  • Vert : additif qui ne pose pas de problèmes

Avec pour chaque additif : les aliments dans lesquels on le trouve, la dose à ne pas dépasser et s’il vaut mieux l’éviter chez l’enfant ou en cas d’allergie, diabète, maladie rénale, prédisposition au cancer, risque cardio-vasculaire…. Et les références des études consultées.

 

1 additif sur 4 pose problème : ce guide signale donc 90 additifs qu’il vaut mieux éviter de consommer régulièrement ou à dose élevée car ils pourraient entraîner des problèmes.

 

Parmi les substances suspectes :

  • Colorants : très présents dans les confiseries et les aliments pour enfants.
  • Phosphates : des plats aux fromages…
  • Émulsifiants : plats préparés, pain industriel, etc…
  • Nitrites : dans la plupart des charcuteries…

 

Parmi les révélations de ce livre :

  • 7 colorants soupçonnés de favoriser l’hyperactivité
  • Pourquoi les additifs au phosphate sont sur la sellette
  • Comment les émulsifiants peuvent perturber la flore intestinale
  • 7 édulcorants à éviter en cas de sucre sanguin élevé
  • Les astuces des industriels pour faire accepter leurs produits
  • Les produits minceurs 0% de graisse mais chargés d’additifs
  • Les additifs utiles aux besoins des industriels mais pas des consommateurs

La présence d’additifs dans un produit signale qu’il s’agit d’un aliment ultra transformé qui aura donc subi déconstruction, ré-assemblage entraînant une dégradation des textures et des saveurs qu’il faut donc bien compenser, en plus de la recherche de la conservation la plus longue possible et du coût minimum, car les additifs sont là avant tout pour permettre de réduire les quantités d’ingrédients naturels plus onéreux.

« Ainsi tout un arsenal chimique appartenant à des familles chimiques diverses, a été mis à la disposition de l’industrie agroalimentaire, qu’il s’agisse de colorants, conservateurs, antioxydants, agents de texture, anti-agglomérants, exhausteurs de goûts ou édulcorants » écrit le Pr Narbonne, toxicologue, ancien expert auprès de l’ANSES.

Une collecte minutieuse de données scientifiques et toxicologiques sur les additifs a été faite par l’équipe de journaliste scientifiques de LaNutrition.fr, sous la direction d’Anne-Laure Denans, docteur en pharmacie, spécialiste de la nutrition.

Un travail de synthèse et de vulgarisation sans précédent !

 

Disponible aux Editions Lourex

 

Le Regulat

Qu’est ce que le LE RÉGULAT ?

 

Boisson obtenue par une fermentation en cascade (procédé breveté) 100 % naturelle, pour la régulation du métabolisme. Les ingrédients la composant, sont des fruits, noix et légumes issus de l’agriculture biologique

Régulat Pro BioBoisson 100% NATURELLE et BIO uniquement destinée à votre bien-être garanti sans conservateurs, sans alcool et sans sucre.

Le nom REGULAT tire son origine de son effet puissant de régulation qu’il induit sur les mécanismes du métabolisme. En Allemand, son nom, Rechtsregulat, est encore plus explicite car il s’agit d’un mot composé dans lequel le mot « Recht« , qui signifie droit, exprime une caractéristique importante du produit. En effet, le processus de fermentation a lieu en milieu d’acide lactique dextrogyre (*).

Ce procédé de fermentation est une fermentation en cascade élaborée sur de longues années et son résultat est l’obtention de ferments primaires sous forme liquide. Regulat contient donc de façon unique un spectre très large d’enzymes décomposées (ou libérées).

Comme l’ensemble des processus du métabolisme du corps humain se font à l’aide d’enzymes, Regulat va agir de manière ciblée, soutenant et palliant aux carences, là où les mécanismes du métabolisme sont en déséquilibre. Ce produit s’utilise tout aussi efficacement e en usage externe qu’en usage interne.

Regulat est un produit issu de la vie pour la vie et le vivant

Le RegulatPro® est un complément nutritionnel totalement naturel, potentialisé à la manière homéopathique. Il complète réellement le système d’enzymes du corps humain, facilite la communication humorale au niveau des enzymes et des hormones, active les neurotransmetteurs et stimule puissamment le système immunitaire.
Les enzymes sont des catalyseurs qui accélèrent les réactions chimiques et assurent le déroulement des processus métaboliques. Chaque enzyme a une fonction qui lui est propre, agissant au niveau des différents métabolismes.
En régulant l’équilibre enzymatique de l’organisme dans son ensemble, le RegulatPro® détoxique et désacidifie l’organisme en profondeur, régule l’équilibre acido-basique et ainsi contribue très rapidement au retour à la santé et à la prévention des maladies.

La vie ne serait possible sans la présence de catalyseurs appelés enzymes.

Nous possédons un capital enzymatique qu’il nous appartient d’entretenir et de renouveler par une alimentation variée de qualité ainsi qu’une bonne hygiène de vie toute notre vie.

les principaux facteurs de l’appauvrissement de notre alimentation (tel que traitements pesticides, transport frigorifié, ionisation et cuisson), le stress, la non-activité sportive régulière et un environnement pollué constituent un facteur supplémentaire de déficience enzymatique. Le RegulatPro® est un concentré complet et équilibré d’acides aminés (précurseurs de la production d’enzymes), de pré biotiques et de phytonutriments obtenu à partir d’un procédé de fermentation en cascade de substances naturelles fraîches, biologiques, exclusivement végétales sélectionnées pour leurs hautes vertus curatives.

Le RegulatPro®, instantanément bio disponible est une véritable boîte à outils de nutriments vitaux et vivants, dont la composition moléculaire simple permet à notre organisme de remettre en route l’ensemble de ses systèmes et de relancer la fabrication des enzymes dont il est carencé.

Le RegulatPro® est un cadeau de la nature pour la vie

Le RegulatPro® est le résultat d’un processus de fermentation en cascade totalement innovant, qui est une fidèle reproduction de la digestion humaine.

Des fruits, différents types de noix et des légumes frais à large spectre curatif issus de l’agriculture biologique, sont soumis à des fermentations successives sur plusieurs semaines en présence de micro-organismes.

Ces « fermentations en cascade » génèrent un milieu d’acide lactique dextrogyre (L+) favorable à la formation d’acides aminés essentiels, précurseurs de la production d’enzymes. Ce processus breveté, unique en son genre, est très dynamisant. Il libère et concentre les substances actives des ingrédients à la manière du système digestif du corps humain.

Le produit final apporte des nutriments de qualité dont la préparation est entièrement naturelle et immédiatement bio disponible.

LES INGREDIENTS :

Datte : riche en vit. B5, calcium, fer, cuivre, potassium…
Figue : riche en substances bactéricide, en enzymes …
Noix de coco : riche en vit. A, B2, C, calcium, fer phosphore…
Noix : riche en acide alpha linoléique, teneur élevée en vit. E…
Citrons : riche en vit. C…
Millet : riche en protéines, lécithine…
Pousses germées : source importante de protéines végétales, minéraux, oligo-éléments, …
Mais aussi : graines de soja, oignons, céleri, artichauts, pois, safran, curcuma

Relance le métabolisme & les défenses immunitaires.
Energie au cœur de la cellule.
Garanti une flore intestinale saine.
Une digestion grandement facilitée.
L’équilibre enzymatique du corps assuré.
Améliore les valeurs sanguines
Trois mois pour rétablir son équilibre acido-basique

Ainsi dynamisées, nos défenses naturelles sont stimulées,
notre métabolisme régulé, et une pleine vitalité retrouvée.
Les enzymes sont des catalyseurs, 1025 processus enzymatiques ont lieu
en 1 seconde & 200 millions de processus métaboliques en 1 journée.
Une réaction qui s’effectue en 1 seconde en présence d’enzymes
mettrait 12 jours sans celle-ci.

Pour plus d’informations, voir le livre
«Diagnostic…Enfin guéri !»
aux Ed. Lourex

INFOS PRATIQUES

Durée de conservation : Non ouvert : 3 ans
Ouvert : plusieurs mois à l’abri de la chaleur et du soleil.
Conserver éventuellement au réfrigérateur l’été en cas de fortes chaleurs.
Consommation recommandée dans un délai de 2 mois après ouverture.
Durée d’une cure : 2 à 3 mois. Pour les maladies chroniques, le dosage est nettement réduit mais la prise peut se faire sur 1 à 3 années.
Quantité pour une cure de 3 mois : 3 à 8 flacons en fonction du dosage appliqué.

NE PAS UTILISER de cuillère en métal non inoxydable pour absorber le Régulat mais la dosette graduée à cet effet qui facilitera la prise de la quantité adéquate et vous assurera l’utilisation optimale du Régulat.

Le conditionnement en bouteille de verre brun est pour une protection de la lumière.

1 dosette = 10 ml
1/2 dosette = 5 ml.

Il existe aussi d’autres accessoires pour le Regulat comme le spray cutané, l’applicateur cuir chevelu et le pulvérisateur nasal.

 USAGE PROPHYLACTIQUE ET SOUTIEN DU METABOLISME

Pour les personnes en bonne santé, 2 prises quotidiennes de Régulat sont conseillées.

La posologie, à titre prophylactique et pour le soutien du métabolisme, est de une 1/2 dosette à une dosette le matin à jeun et le soir au coucher.
L’effet du Régulat est amplifié s’il est conservé en bouche un petit moment avant d’être avalé car l’absorption par les muqueuses buccales est très rapide et efficace.
En cas d’apparition de symptômes, le dosage doit être réduit et la prise conjointe d’Aphanizomenon (Algue Bleue-Verte) est fortement conseillée.

Avec le Régulat, la flore intestinale se normalise généralement en un très cours laps de temps ce qui favorise la digestion et le renforcement du système immunitaire.

 USAGE EN DETOXINATION ET DESINTOXICATION

Prendre le Régulat à hautes doses (3 à 6 dosettes/jour) pendant quelques semaines en associant une Algue.

Le Régulat libère les toxines, les acides et les résidus toxiques des tissus et l’Algue aura un rôle de chélateur c’est-à-dire qu’il fixera ces « déchets » pour les conduire hors du corps tout en renforçant les fonctions rénales.
Pour favoriser la désintoxication, il est important de boire suffisamment et de veiller à soutenir le foie.
En cas d’apparition de symptômes, réduire le dosage de Régulat et augmenter la prise d’Algue ainsi que la consommation d’eau plate (faiblement minéralisée, donc pas d’eau minérale !).

Thérapie par alternance :

II est judicieux de commencer une cure de détoxination au printemps ou à l’automne, en phase de lune décroissante selon la méthode dite « thérapie par alternance ». La prise de Régulat a lieu le matin à jeun, le midi avant le repas et le soir au coucher.

Conserver Régulat un long moment en bouche si possible.

Il vous faudra au total 6 bouteilles de Régulat et 3 flacons d’Aphanizoménon.
En cure d’entretien, un dosage allant de 1/2 dosette à 1 dosette, 2 fois/jour est recommandé ainsi que 2 gélules d’Aphanizoménon 3 fois/jour.
Les périodes de pause sont à apprécier de façon individuelle. Nous ne recommandons pas la prise de Régulat en continu afin d’éviter une dépendance éventuelle et de permettre à votre corps de se débrouiller par lui-même.
Lors de la cure de détoxination, nous recommandons de boire énormément (de l’eau et/ou des infusions de plantes). Idéalement prendre de l’eau chaude et par petites gorgées.
Avant, pendant et au plus tard après une cure de détoxination, nous vous conseillons d’adopter une alimentation saine et naturelle, et le cas échéant de consulter un diététicien ou un thérapeute pour avoir des conseils adaptés.

En soutien en cas de maladie :

En cas de maladie manifeste il est recommandé d’utiliser le Régulat avec les conseils de thérapeutes expérimentés et en particulier s’il y a des phénomènes d’aggravation primaire de symptômes déjà connus ou apparition de nouveaux symptômes.
Les phénomènes d’aggravation primaire sont en règle générale des crises de guérison. Pour autant, votre organisme peut fréquemment avoir besoin de méthodes alternatives et de produits complémentaires pour accompagner ces symptômes.
Une introduction lente et progressive de Régulat est à prévoir en cas de maladies avérées.

La « thérapie par alternance » peut s’avérer trop rapide et « brutale » pour certaines pathologies.

Si les toxines libérées bousculent votre organisme d’une manière trop importante, il faut absolument réduire le dosage et en tout état de cause accompagner la prise de Régulat par de l’Aphanizoménom et augmenter sa consommation de liquides (eau/infusion de plantes).

 
Aggravation primaire et mesures de précaution
:

En prenant du Régulat il peut y avoir, au départ, un véritable raz-de-marée de toxines et d’acides dans le corps.

Ainsi, on constatera par exemple une aggravation de douleurs articulaires existantes (de petits cristaux se dissolvent provoquant des douleurs), des problèmes de ballonnements, de flatulences ou de selles.

Des problèmes de peau peuvent également ressurgir. Ces aggravations et autres phénomènes similaires sont une « sur-réaction » face aux toxines inondant le corps au départ.
Pour éviter une « sur-réaction » il est conseillé de suivre la « thérapie par alternance » et de prendre conjointement de l’Aphanizomenon.

Les réactions les plus importantes sont à constater chez des personnes atteintes de maladies au stade chronique mais aussi chez des gros consommateurs de viande ou chez des personnes n’ayant jamais entrepris la moindre cure de détoxination.

Des réactions allergiques au Régulat ne sont pas connues. Les personnes qui souffrent d’allergies alimentaires (par rapport à l’un des ingrédients du Régulat) peuvent consommer le Régulat sans réserves.

En effet, les allergènes sont des acides aminés à chaînes longues et grâce au processus de fermentation, ils sont décomposés en acides aminés à chaînes courtes. Les allergènes n’existent plus dans leur forme initiale et ne peuvent plus provoquer d’allergies.

 En cas de ballonnements :

Le Régulat libère au départ de nombreuses toxines et bactéries intestinales qui provoquent des gaz et des ballonnements. Il est préférable d’interrompre la cure de Régulat pendant 2 à 3 jours et de prendre à la place un verre d’eau tiède à jeun.

Ainsi les toxines libérées peuvent d’abord être évacuées. Reprendre ensuite 1 cuillère à café de Régulat dans un verre d’eau et augmenter progressivement la dose.

Si des ballonnements devaient à nouveau se manifester, réduire immédiatement le dosage.

D’une manière générale, il convient d’observer sa capacité propre à supporter un dosage établi afin de prendre les mesures qui s’imposent pour conserver l’équilibre de l’organisme. Celles-ci passent par une réduction de la posologie et une réintroduction progressive de Régulat.

L’écoute de soi, la régularité et la patience sont les piliers d’un bon usage du Régulat.

PRECAUTIONS de dosage pour les pathologies suivantes :

  • Dysfonctionnement de la thyroïde,
  • hypertension,
  • hyper-cholestérolémie,
  • diabète mellitus et urines acides,
  • goutte,
  • problèmes cardio-vasculaires et certaines formes douloureuses de rhumatismes.

Les valeurs sanguines de référence peuvent s’aggraver et il faut éviter de provoquer une « sur-réaction ».

Une posologie très réduite est conseillée et il ne faut en aucun cas démarrer avec un dosage équivalent à la dosette.

 Exemple de posologie :

  • Au départ sur 7 jours : une 1/2 dosette le matin à jeun si elle est bien supportée.
  • Les 7 jours suivants : 1 dosette le matin à jeun.
  • Passer ensuite à 1 dosette le matin à jeun et le soir au coucher.
  • On peut également adopter la « thérapie par alternance » .

 Maladies auto-immunes (sclérose en plaques, sida, etc.) ou de métastases au foie :

Il convient d’adopter une posologie de 10 gouttes de Régulat à prendre dans ½ verre d’eau et de rester à ce dosage. Au maximum augmenter la dose à une 1/2 dosette pour un verre d’eau.
Un contrôle régulier du foie est conseillé.

La durée d’utilisation pour ces maladies chroniques peut comporter 1 à 3 années.

Pour ces maladies le Régulat n’est qu’une mesure de soutien parallèlement à d’autres traitements et thérapies.

La patience est d’ici de rigueur.

En période de grossesse et d’allaitement :

Régulat peut être pris à un faible dosage (par ex. deux 1/2 dosettes par jour). La prise devrait toujours être accompagnée d’Aphanizoménon afin de lier immédiatement les résidus et substances toxiques et de les convoyer hors du corps.

Couronnes ou inlays en or et appareils dentaires :
Régulat peut être consommé sans réserve. La teneur en acide lactique étant trop faible pour attaquer ces matériaux.

 USAGE EXTERNE

La prise de Régulat accompagnée de pulvérisations sur la peau a un effet très puissant sur les couches les plus profondes de l’épiderme, les os et les organes.

Le Régulat peut ainsi traiter des affections bénignes comme les verrues, l’eczéma, les taches de vieillesse, les aphtes, l’herpès, le muguet et améliorer l’irrigation des peaux sèches par la meilleure vascularisation qu’elle engendre.

A l’aide de pulvérisations quotidiennes ou des techniques d’enveloppement, on obtiendra d’excellents résultats sur des psoriasis, des jambes enflées, des douleurs articulaires ou rhumatismales et des névralgies.

Le Régulat peut venir très rapidement à bout de nombreuses affections vaginales et cystites bénignes par une application locale, car la flore vaginale est rapidement renouvelée.

L’extrait de pépins de pamplemousse

HISTORIQUE

La découverte eut lieu en 1980, sur un tas de compost.

En effet, un jardinier découvrit un jour que les pépins de pamplemousse de son compost ne pourrissaient pas. Or, ce jardinier était aussi médecin physicien, lauréat du prix Einstein et immuno-biologiste.

Son nom le Dr Jacob HARICH, résident en Floride.

Derechef, le phénomène fut reproduit dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recelaient une substance à la fois plus puissante et moins nocive que tout antibiotique connu. Des recherches furent entreprises à l’institut Pasteur, l’institut pour la micro-écologie de Hebon en Allemagne et la Southern Research Institute aux USA.

Un incroyable spectre d’action fut mis en évidence à la fois sur les bactéries, les virus, les levures et les champignons, ainsi que divers parasites, alors que l’action des antibiotiques conventionnels se limite aux bactéries. En 1990, le Dr Allan SACHS de Woodstock NY reprenant les études du Dr HARICH se demanda s’il n’avait pas découvert l’antimicrobien parfait.

PROPRIÉTÉS SPÉCIFIQUES

L’action de l’extrait de pépins de pamplemousse s’étend à environ 800 souches de bactéries et virus et environ 100 souches de champignons ainsi qu’à un très grand nombre de parasites unicellulaires.

C’est un score unique.
Son action anti-microbienne se développe à une concentration moyenne de 1000 ppm (parts par million) ce qui correspond à 8 gouttes par verre d’eau environ (concentration : 60 %).

  • Des essais comparatifs en concurrence avec 30 antibiotiques puissants et 18 antimycosiques ont été établis par des équipes de recherche internationales. Dans chaque essai, l’huile de pépins de pamplemousse étant d’un effet équivalent ou supérieur sur les souches présentes.
  • Le produit est dépourvu de toxicité. Il faudrait absorber 4000 fois la dose normale pour atteindre des effets d’empoisonnement.
  • L’extrait de pépins de pamplemousse aide les défenses immunitaires, alors que les antibiotiques classiques les inhibent.
  • Au niveau intestinal, alors que l’extrait de pépins de pamplemousse inhibe les bactéries nocives, il ne touche absolument pas aux indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. De plus, l’ensemble de la flore se trouve améliorée.
  • Normalement, ce produit ne fait l’objet d’aucune réaction allergique. Néanmoins, selon les statistiques, il y a environ 4% des personnes qui présentent une allergie aux agrumes en général. Dans ce cas, ces personnes doivent commencer par des doses minimales.

APPLICATIONS THERAPEUTIQUES

L’extrait de pépins de pamplemousse est utilisé depuis plusieurs années déjà aux Etats-Unis, dans les pays scandinaves et il se trouve actuellement dans toutes les boutiques diététiques suisses où il connaît un grand succès.
On l’utilise dans :

  • les maladies gastro-intestinales
  • les infestations par levures,
  • les refroidissements en tous genres,
  • les infections ORL,
  • les mycoses de la peau et ongles,
  • les infections urinaires,
  • les déficiences immunitaires même graves,
  • la fatigue chronique,
  • les candidoses,
  • les diarrhées,
  • les grippes,
  • les mycoses,
  • les pellicules,
  • les verrues,
  • les excès de transpiration,
  • les eczémas,
  • les gingivites,
  • les intoxications alimentaires,
  • le choléra, la désinfection des blessures,
  • la désinfection de l’eau à boire.

Les médecins et les malades sont enchantés par sa facilité d’emploi et son innocuité. Mais l’on pense que l’on n’a pas encore découvert toutes les possibilités d’application de ce merveilleux produit.

APPLICATION AUX ANIMAUX

Au Danemark, on utilise ce produit pour l’élevage biologique des porcs, des vaches et des chevaux, sous forme de poudre, dans les maladies épidémiques et infectieuses. Au Pérou, les alpagas qui fournissent une laine de qualité, sont des animaux très fragiles. On a réduit grâce à l’extrait de pépins de pamplemousse la mortalité de 50% à 2%.
Pour les animaux domestiques, de nombreuses personnes utilisent ce produit avec succès, comme vermifuge contre poux, puces, tiques et les mycoses.

APPLICATION AUX PLANTES

Dans les pays chauds, la conservation des fruits et légumes pose un gros problème (pourriture, moisissure). Ce produit a trouvé un grand champ d’application dépourvu de toxicité et très efficace, y compris pour la désinfection des viandes, des poissons et des céréales. La conservation peut ainsi être multipliée par 3 ou par 4.
Les agriculteurs danois se servent de l’extrait pour lutter contre les ravageurs dans les champs de pommes de terre, de carottes et de poireaux.

APPLICATIONS DIVERSES

  • Dans l’industrie cosmétique, on commence à utiliser l’extrait de pépins de pamplemousse pour remplacer les produits chimiques de conservation souvent toxiques.
  • Des essais concluants ont été effectués dans les hôpitaux dans la désinfection des locaux, de la lingerie, la stérilisation des blocs opératoires et appareils médicaux.
  • On aurait donc la parade aux maladies nosocomiales dues à des souches bactériennes ou virales, résistantes aux antibiotiques.
  • Des tests post-opératoires sur la désinfection de la peau donnent un résultat de pouvoir germicide de 100% avec l’extrait de pépins de pamplemousse, contre 72% avec l’alcool.
  • L’extrait de pépins de pamplemousse peut avantageusement remplacer le chlore dans l’eau potable, celui-ci étant très toxique. John R CURSON, du service de l’environnement d’Amadella (USA) a démontré que l’adjonction de 350 litres d’extrait dans un million de litres d’eau faisait baisser d’une façon durable le nombre de colibacilles fécaux à 1 pour 100 ml alors que la norme autorisée est de 200 pour 100 ml.
  • En Thaïlande, et en Amérique du Sud, on a commencé à introduire ce mode d’assainissement de l’eau dans les piscines à la place du chlore.

Il est à noter que le produit a été déclaré non écotoxique par la FDA et 5 ans d’études américaines ont prouvé sa parfaite biodégradabilité.

Concernant la composition du produit, Il est important que l’extrait soit issu de pamplemousses biologiques. L’analyse chimique de l’extrait fait apparaître des bioflavonoides et glucosides.
Le goût étant quelquefois amer, on peut le diluer dans du jus de fuit. Commencer avec des doses minimales en prévision des réactions d’élimination trop violentes.

  • Pour les voyageurs des pays tropicaux, il est indispensable de désinfecter l’eau locale qui peut entraîner dysenterie, amibiases, choléra, typhus, ou paratyphus.
  • L’hélicobacter Pylori est responsable des gastrites et ulcères d’estomac. Une étude Anglaise a montré que 20% des personnes de 20 ans, 40% des personnes de 40 ans et 60% des personnes de 60 ans sont touchées. L’utilisation de l’extrait de pépins de pamplemoussepeut abaisser la concentration d’hélicobacter à moins de 1 pour 1000.
  • Le Candida Albicans et autres mycoses ont tellement proliféré depuis 10 ans que la moitié de la population occidentale est atteinte. Les antibiotiques, la cortisone, la pollution alimentaire sont en cause. 7000 à 12000 personnes mourraient en Allemagne chaque année des suites de Candida Albicans. Jusqu’ici, cette atteinte était très difficile à soigner. Le docteur Léo GALLAND de New York a traité par l’extrait de pépins de pamplemousse 297 personnes. Seules 2 personnes ne guérirent pas.

Les troubles consécutifs au Candida albicans sont très variés : ballonnements, diarrhées, colite, ulcère gastro-intestinal, troubles menstruels, stérilité, fibroses, troubles de la prostate, allergies, troubles hormonaux, troubles cardiaques, douleurs articulaires, maux de tête, migraines, perte de mémoire, sautes d’humeur, asthme, sinusite, problèmes rénaux, fluctuation glycémique, gastrite.
Les maladies parasitaires, des vers aux protozoaires :
On en dénombre plus de 130 donnant des troubles variés, en particulier sur le psychisme et sur le caractère. Le traitement curatif est le même que pour les autres troubles.
A noter que de nombreuses allergies sont dues à la présence de parasites intestinaux.

USAGE INTERNE

Posologie moyenne :

  • Extrait de pépins de pamplemousse à 33% : de 10 à 30 gouttes d’extrait 2 à 3 fois par jour, bien mélanger dans un verre d’eau.
  • Extrait de pépins de pamplemousse à 60% : de 5 à 15 gouttes d’extrait 2 à 3 fois par jour pour , à diluer dans un verre d’eau.
    Toutefois, la posologie est à adapter à chaque cas particulier.

USAGE EXTERNE

Les posologies sont exprimées en gouttes d’extrait à 60 %.

  • Aphtes, Mauvaise haleine, Muguet (mycose buccale) : rinçage de la bouche avec 20 gouttes dans un verre d’eau.
  • Herpès des lèvres, lèvres gercées : 3 à 5 gouttes dans une cuillère à soupe d’huile. Badigeonner.
  • Gingivite : rincer la bouche et masser les gencives avec 20 gouttes du produit dans un verre d’eau. Tremper la brosse dans le mélange pour désinfection.
  • Toux, Angine : gargarismes avec le même mélange que ci-dessus.
  • Mycose auriculaire : appliquer avec un coton tige le mélange de 3-5 gouttes pour une cuillère à soupe d’eau.
  • Entretien du cuir chevelu (pellicules…) : ajouter 10 à 20 gouttes de produit dans la main avec la portion de shampooing.
  • Tiques : appliquer une goutte pure sur la tique.
  • Verrues : appliquer une goutte pure sur les verrues 2 à 3 fois par jour.
  • Mycose : application d’extrait pur dilué dans un peu de glycérine, 2 à 3 fois par jour jusqu’à guérison complète.
  • Infection vaginale, mycose vaginale : ne pas laver au savon. Pratiquer des injections avec 3 à 9 gouttes d’extrait dans 1/4 de litre d’eau tiède. Y ajouter 5 à 10 gouttes de teinture mère d’ ecchinacea.

Il peut aussi SANS DANGER ET AVEC D’EXCELLENTS RESULTATS être utilisé sur les animaux et les plantes.

Le GRAPEX est un extrait de pépins de pamplemousse à 60%, cultivés biologiquement, exempt de chlorure de benzéthonium ou autres phénols et pesticides de synthèse.

Ce produit est référencé dans le livre "Secrets et merveilles du pamplemousse" écrit par Shalila Sharamon.

L’extraction se fait par un procédé nouvellement breveté qui, par son usage des hyperfréquences, permet une concentration d’agents actifs nettement supérieure aux autres extraits, tout en conservant les propriétés de la plante. Cet extrait est ensuite stabilisé dans un solvant hydro-glycériné purement végétal puis enflaconné hermétiquement.

La Bromelaïne

QU’EST-CE QUE LA BROMELAÏNE ?

La Bromélaïne est une enzyme protéolytique naturelle ou protéase (dont la principale est la broméline) extraite des tiges et racines fraiches de l’ananas aux propriétés multiples. L’ananas est une broméliacée d’où le nom donné à cette enzyme.

En tant qu’enzyme protéolytique, la Bromélaïne a donc la capacité de digérer les protéines, qu’elles soient d’origine animale ou végétale, par hydrolyse, c’est-à-dire qu’elle coupe les protéines en molécules plus petites et les rend inactives, aidant ainsi la digestion en les découpant en acides aminés, détruisant aussi certaines qui sont néfastes à la santé.

Cette aide peut-être importante pour un organisme ne produisant pas assez d’enzymes digestives, limitant ainsi indigestion, brûlures, flatulences, etc.

La Bromélaïne est active à n’importe quel PH et agit aussi bien dans l’estomac que dans l’intestin grêle. Elle joue alors le rôle d’enzyme digestive lors du dysfonctionnement du pancréas.

En fonction des pathologies, la prise de la Bromélaïne se différencie (hors ou pendant les repas).

Les gélules gastro-résistantes ne sont pas scientifiquement plus efficaces puisque le corps va devoir s’occuper de tous les additifs (15 excipients différents peuvent être nécessaires), donc travailler plus avant de pouvoir digérer la Bromélaïne. Par ailleurs elles ne pourront être complètement efficaces pour des problèmes digestifs.

Ainsi avec une gélule non gastro-résistante, seule la digestion de la gélule végétale sera nécessaire pour qu’ensuite l’intestin s’occupe de l’assimilation de la Bromélaïne. La seule «contrainte», si cela en est une, est de prendre la gélule estomac vide (pour ses propriétés autre que digestives) afin qu’elle arrive entière dans l’intestin où elle pourra être assimilée.

Si toutefois vous utilisez des gélules gastro-résistantes (pour des problèmes autres que digestifs), assurez-vous que celles-ci ne contiennent pas de dioxyde de titane (colorant E171) ainsi que d’autres substances chimiques qui leur donnent leur propriété gastro-résistantes.

Par ailleurs, une gélule d’origine animale (donc protéique) ne peut être utilisée comme contenant car elle serait dissoute puisque la Bromélaïne est une enzyme protéolytique.

PROPRIÉTÉS
  • Anti-agrégeant plaquettaire.
  • Fibrinolytique directe sur les caillots.
  • Anti-inflammatoire directe et indirecte.
  • Anti-tumorale.
  • Anti-métastasique.
  • Immunostimulante (induit la production de cytokines).
  • Escarres, brûlures, engelures (en application à 35% sur base huileuse).
  • Potentialise l’action des antibiotiques (tétracycline, amoxylline).
  • Action mucolytique (bronchite, pneumonie).
  • Action digestive. Remplace avantageusement la trypsine et la pepsine (insuffisance pancréatique).
  • Ballonnements, flatulences.
  • Ulcères gastriques.
  • Œdèmes post chirurgicaux (préventif ou curatif).
  • Traumatismes sportifs.
  • Résolution rapide des hématomes.
  • Thrombose et thrombo-phlébite.
  • Plaque d’athérome
ETUDES SCIENTIFIQUES
Un essai clinique a été effectué sur 74 boxeurs avec des ecchymoses sur le visage et des hématomes sur les lèvres, les orbites, la poitrine, les bras.
La Bromélaïne leur a été donnée 4 fois/jour pendant au moins 4 jours et jusqu’à disparition des ecchymoses.
Un groupe témoin de 72 boxeurs a reçu un placebo.
Chez 58 boxeurs prenant de la Bromélaïne tous les signes d’ecchymoses avaient complètement disparu en 4 jours ; les 16 autres ayant eu besoin de 8 à 10 jours pour une guérison complète.
Dans le groupe témoin, seulement 10 sujets ont guéri en 4 jours, les autres entre 7 à 14 jours.
Les résultats d’un essai clinique sur 124 sujets, hospitalisés pour bronchite, pneumonie, broncho-pneumonie, ont montré que la prise de Bromélaïne provoquait une diminution de la viscosité du mucus favorisant ainsi son élimination des voies respiratoires congestionnées.
Elle a été utilisée avec succès comme enzyme digestive après une pancréatectomie dans des cas d’insuffisance pancréatique exocrine et dans d’autres troubles intestinaux.
La Bromélaïne en raison de son large éventail de pH exerce son activité dans l’estomac comme dans l’intestin grèle.
Elle est aussi bénéfique dans des cas de déficience en pepsine ou en trypsine. Suite à des expériences sur animaux il a été montré que la Bromélaïne guérit les ulcères gastriques.

 

APPLICATIONS

Les domaines principaux d’application sont donc :
  • Les kystes, les tumeurs et les oedèmes.
  • Tous les problèmes inflammatoire.
  • Les problèmes respiratoires et pulmonaire.
  • La sphère digestive et intestinal.
  • Tout ce qui concerne le domaine cardio-vasculaire.
La Bromélaïne est utilisée en Europe pour favoriser le rétablissement après une opération ou des blessures sportives, aussi bien que pour traiter des sinusites ou des phlébites. Parmi ses autres usages, on retrouve le traitement des maladies veineuses, des contusions, de l’arthrite de la polyarthrite rhumatoïde, de la goutte, des colites ulcératives.
La Bromélaïne a la propriété de digérer les protéines.
Les chercheurs attribuent généralement ces effets à son action anti-inflammatoire. Elle pourrait également agir sur les récepteurs physiologiques de la douleur, aurait des propriétés anticoagulantes ainsi qu’une action sur la santé vasculaire (diminue le nombre de crises d’angine de poitrine) et en association avec du potassium et du magnésium, elle peut entraîner une diminution du risque d’infarctus.
Les chercheurs ont conclu que la Bromélaïne peut avoir un rôle dans l’activation des réponses immunitaires dans des situations où elle pourrait être déficiente comme cela peut se produire chez des sujets immunodéficients.
La Bromélaïne apporte une aide aux malades souffrant de rhumes, d’asthme ou d’une production excessive de mucus dans le système respiratoire. Elle renforce l’action des antibiotiques.
La potentialisation des antibiotiques et d’autres médicaments par la Bromélaïne pourrait être due à une stimulation de l’assimilation aussi bien qu’à une augmentation de la perméabilité des tissus malades qui renforcent l’accès des antibiotiques au site de l’infection.
On pense également que l’utilisation de la Bromélaïne pourrait créer un accès similaire à des composants spécifiques et non spécifiques du système immunitaire, stimulant ainsi l’utilisation par l’organisme de ses propres ressources de guérison.
 
Durant les 15 dernières années, près de 400 articles ont été publiés décrivant l’emploi de la bromélaïne en pratique clinique (TAUSSIG et AL en 1975).
Un grand nombre de maux, apparemment sans relation, répondent favorablement au traitement à la Bromélaïne.
La liste comprend des maladies gastro-intestinales, respiratoires, gynécologiques, la plupart des maladies inflammatoires et cardiovasculaires, les débridements de brûlures, la thérapie du cancer et beaucoup d’autres maladies.
Les résultats obtenus sur une très grande population de malades sont absolument sans équivoque, de sorte qu’il ne peut y avoir de doutes sur la validité des découvertes rapportées.
Mais le plus extraordinaire semble être son action anti-tumorale et anti métastatique.
LE TRESOR CACHE
 
2 articles parus dans Horizons Virtuels, la revue de Michel DOGNA vous donneront une idée de ses possibilités.
  • Extrait du N° 27 de janvier 2005 : … LE TRÉSOR CACHÉ DE LA BROMÉLAÏNE :
« …La bromélaïne est une enzyme active aussi nommée broméline, que l’on tire de la tige d’ananas. Le fruit en contient aussi en quantité mais est surtout logé dans le cœur et la peau. Une composition gastro résistante est vendue en pharmacie sous le nom d’Extranase (moyen mnémotechnique) : « remède extra pour ceux qui sont nazes ». »
LES ETAPES DE MA DECOUVERTE
 
Depuis longtemps je connaissais l’existence de la Bromélaïne d’ananas au même titre que la Papaïne de Papaye, signalées par le Dr LEVY dans sa panoplie d’adjuvants anticancéreux. Bref un remède parmi tant d’autres.
Il y a 4 ans un ami médecin et (bon) cancérologue, le Dr L.G. que je ne dévoile pas ici vu les ennuis qu’il a déjà essuyés (comme tous les bons) et à qui je parlais du CARZODELAN, me dit : « Pourquoi t’embêtes-tu avec ces piqûres qui coûtent 18,00F l’injection (non remboursée) alors qu’il existe l’EXTRANASE en pharmacie, en comprimés qui coûtent 3,00 F six sous. »
Depuis 20 années je connaissais et prescrivais avec bonheur ce merveilleux produit allemand le CARZOLEDAN (extrait de pancréas) qui m’a permis de pratiquer beaucoup d’exercice illégal de la guérison (sic Sylvie SIMON).
Derechef, je me mis en devoir de signaler l’EXTRANASE dans le journal de l’époque (Soignez vous ou Santé Pratique). Le seul retour que j’ai eu, a été une lettre d’une abonnée pas contente car allergique à l’ananas, elle avait eu des réactions fort désagréables. Je finis par conclure que c’était une fausse piste et déclarait que les résultats étaient décevants.
L’EXPERIENCE DETERMINANTE DE MONSIEUR PIERRE
 
Le temps passa et il y a 2 mois, je reçus un coup de téléphone d’un certain Mr Pierre L. de Bretagne qui me dit : « Mr Dogna, grâce à vous, je fais de véritables miracles » (étonnement). Il poursuit :
« Il y a un an je suis tombé sur un de vos journaux qui parlait de l’Extranase et voilà ce qui est arrivé : Christelle, une petite cousine venue passer quelques jours chez nous, avait un gros chagrin car sa petite chatte Rosie allait être opérée de 2 tumeurs cancéreuses, une moyenne et une très grosse. Je lui dis d’appeler sa maman, de lui demander d’aller à la pharmacie acheter 1 boîte d’Extranase, ainsi que de calculer la dose à donner en fonction du poids de la chatte, sachant que pour un homme la dose est de 3 x 3 comprimés/jour. La maman ne se cassa pas trop la tête : elle acheta la boîte sans trop y croire et donna un comprimé à la chatte. C’était 24H avant l’opération. Rosie avait en fait ingurgité 10 fois la dose en rapport de son poids. A l’opération, le lendemain, il apparut que la tumeur moyenne avait disparu complètement et que dans la grosse tumeur, il n’y avait plus que de l’eau. Depuis Rosie est en très bonne santé ».
UNE ASTUCIEUSE DEDUCTION
 
Suite à l’expérience de Rosie, Mr Pierre en vint à penser que si l’Extranase n’avait pas habituellement d’effets plus déterminants sur le cancer, c’est qu’elle était très sous dosée.
Il en est de même pour la vitamine C qui a été limitée à quelques 400 mg/jour alors que l’on peut monter à 5g avec la vitamine C naturelle et à 30g voire même 40 ou 50 g avec la vitamine C de synthèse mélangée à de la Lysine.
Mr Pierre a calculé que la dose d’attaque standard idéale d’Extranase est de 1 comprimé/kilo qu’il s’agisse d’un humain ou d’un animal. Pour une tumeur jeune, cette dose unique peut suffire. Mais il faut souvent continuer plusieurs jours à demi dose (soit 1 comprimé pour 2 Kg) le temps nécessaire pour que la tumeur disparaisse, qu’elle soit cancéreuse ou non.
LE VIEUX CHIEN DES VOISINS
 
La pauvre bête avait une tumeur de 7 cm d’épaisseur et ses maîtres ne voulaient pas le soigner vu son âge. Mr Pierre parvint a les convaincre de lui donner de l’Extranase ainsi qu’indiqué plus haut. 10 jours après, les grosseurs avaient totalement disparu. Le chien mordillait la peau détendue et il en sortait de l’eau. Depuis, aucune trace de tumeur n’est réapparue.
DES CONFIRMATIONS « SCIENTIFIQUES » OFFICIEUSEMENT RECONNUES
 
La mise à jour de la fiche Bromélaïne effectuée par les chercheurs Pierre LEFRANÇOIS et Françoise REILY et revue le 23 août 2004 par Jean-Yves DIONNE, stipule que bien que l’on ait obtenu des résultats thérapeutiques positifs en utilisant des doses conventionnelles relativement faibles (160 mg /jour).
On a observé des effets plus positifs lorsque le dosage quotidien se situe entre 500 mg et 2000 mg, le tout réparti en 3 ou 4 prises.
En fait, des études effectuées sur des rats ont montré qu’il fallait atteindre 5g/kilo pour que les reins donnent des signes de fatigue, ce qui représente pour un humain de 60kg, 300g de Bromélaïne.
En ce qui concerne le cancer, l’auteur d’une synthèse publiée en 2001 souligne que les résultats d’études précliniques et pharmacologiques permettent de recommander la Bromélaïne par voie orale comme traitement complémentaire dans les cas de tumeurs. Mais il apparaît que les expériences cliniques menées sur 6 mois à 2 ans bien que positives sur le plan des réductions des tumeurs et des métastases, ainsi que de l’augmentation des défenses immunitaires, n’ont pas été massives en raison des dosages très insuffisants prudemment préconisés.

LES RESTRICTIONS
L’ORGANISATION DE DEFENSE DES CELLULES CANCERISEES
 
Parmi les globules blancs, il existe une sorte de leucocytes tueurs nommés les NK (Natural Killers) qui ont pour mission d’injecter dans les cellules cancéreuses une substance toxique mortelle : la Tumostérone (un dérivé de la vitamine D2).
Afin de se protéger de ces attaques, les cellules cancéreuses s’entourent d’une substance mucoïde spéciale. Pour pouvoir rendre l’accès libre aux NK, il faut d’abord dissoudre ce mucus. C’est justement ce qu’est capable d’effectuer la Bromélaïne de l’Extranase. Le résultat est tellement rapide lorsque les doses sont suffisantes, que l’on peut penser à un miracle.
Mais, attention les produits laitiers contrarient l’effet de la Bromélaïne pour 2 raisons :
  1. ils renforcent la couche mucoïde
  2. ils contiennent des hormones de croissance cellulaire rapide (le lait est fait pour les bébés qui doivent grandir vite).
NB : Lorsque l’on parle de produits laitiers, il s’agit de TOUS les produits laitiers d’origine animale, y compris tout aliment confectionné avec un quelconque des dérivés de laitages (et ce n’est pas facile d’y échapper).
A savoir que 95 % des desserts sont à base de produits laitiers.

 

 ASSOCIATION BROMELASE – VITAMINE C
 
Une tumeur maligne ou pas résiste rarement à l’association Bromélase + vitamine C, même en phase avancée.
Pourquoi ajouter de la vitamine C ?
Parce que contrairement aux humains, les animaux ont la faculté de fabriquer chaque jour de la vitamine C fraîche qui correspond à 10g ramené au poids moyen de l’humain. Ceci explique les résultats souvent plus spectaculaires chez les animaux, car la vitamine C potentialise l’effet de la Bromélaïne, du Lapacho et de tous les traitements en général.

BROMELAINE OU ANANAS ?
La question qui vient à l’esprit est « si je mange des ananas, n’est-ce pas pareil ? ». En fait c’est une mauvaise solution.
 

L’ananas ne contient qu’une faible concentration de bromélaïne. Il faudrait donc en manger de grandes quantités ou bien boire plus d’un litre de fruit frais par jour pour ne même pas espérer atteindre une action thérapeutique sur l’organisme. En fait le contraire se produirait si de telles quantités étaient consommées quotidiennement par semaine car cela serait rapidement insupportable voire dangereux pour le système digestif.

C’est pourquoi les chercheurs se sont tournés vers la tige de l’ananas qui est très concentrée en bromélaïne. Cependant il n’est pas conseillé de manger cette tige car en plus de la bromélaïne, on pourrait y trouver des composants indésirables pour l’organisme.
La meilleure solution réside donc dans l’extraction de la bromélaïne à partir de la queue de l’ananas.

LA CHROMATOGRAPHIE
 

L’extraction à partir de la queue de l’ananas est donc la meilleure solution qui existe. Cela s’appelle la chromatographie et constitue le procédé le plus utilisé aujourd’hui.

Cette méthode consiste à séparer l’enzyme des autres molécules présentes dans la tige en phase liquide rapide des protéines (ou High Performance Liquid Chromatography – HPLC).
Plus simplement, c’est une méthode qui permet la séparation des différentes substances contenues dans un produit dissous dans un liquide à travers une phase stationnaire.
Ce qui permet en quelques minutes d’isoler la bromélaïne des autres composants se trouvant dans la tige de l’ananas puis de la prélever et de la conditionner.
Ainsi on peut obtenir de fortes concentrations en bromélaïne mais surtout la suppression de toutes les substances indésirables.
La chromatographie est un procédé plutôt onéreux mais qui permet de disposer d’une bromelaïne pure donc active et efficace.

La qualité de votre produit dépend donc de la technologie utilisée par le laboratoire qui les fabrique.

 

PRECISIONS
 

Pour connaître l’efficacité de la Bromélaïne, il est important de connaître son GDU (Gelatin Digestion Unit). Il est souvent indiqué dans son nom.

Ainsi la Bromelase 2500 vous donne son indice GDU soit 2500.
Cette mesure indique la pureté de l’enzyme et donc son degré d’activité. C’est à dire la capacité de l’enzyme à lyser les protéines mais aussi son efficacité car plus dosé.
L’indice 2500 est l’un des plus purs sur le marché aujourd’hui (NDLR : comme la Bromelase vendue par Normandy et Ouest Vitamine C – 2500 étant le minimum garanti, l’activité de leur bromélaïne pouvant être supérieure).
A contrario, l’Extranase vendue en pharmacie est à 900nK (nanoKatals) soit 22GDU.
La toxicité éventuelle est estimée à environ 10g/kg de poids, soit plus de 1000 gélules/jour pour un adulte de 60 kg. Elle n’est donc jamais toxique même à dose prescrite importante.

On peut trouver depuis de la Bromélase 3000 dans le commerce mais il faut savoir que les résultats obtenus (par rapport à de la 2500) est de moins de 5% quant aux résultats pour un prix beaucoup plus onéreux pour le consommateur (Sic).

RECOMMANDATIONS
 
Lorsque l’on fait un traitement de Bromélaïne, il est conseillé de consommer beaucoup de crudités et d’éviter les produits laitiers d’origine animale (yaourts, fromage, lait). Il existe aujourd’hui des produits laitiers végétaux qui les remplacent avantageusement (lait d’avoine, de riz, d’amande, etc…)

L’Aphanizomenon Flos Aquae

ou Algue bleu-vert

 

ORIGINE

L’Algue d’eau douce Aphanizomenon Flos-Aquae (AFA) croît dans un biotope exceptionnel dans le centre sud de l’Orégon, aux États-unis.

Loin de toute pollution industrielle, à une altitude de 1300 mètres, le lac KLAMATH réunit toutes les conditions pour la photosynthèse, avec une profondeur de 110 à 120m et un ensoleillement idéal permettant à l’eau de chauffer rapidement.

Protégé au nord par le Mont Mazama et au sud par le Mont Shasta, ce bassin de 320 km² est alimenté en permanence par une eau de PH neutre, d’une pureté incroyable. Les rivières, torrents et cascades proviennent essentiellement de la fonte des neiges et des glaciers des sommets environnants, les montagnes de la chaîne volcanique Cascade, mais cette eau est enrichie par un système de percolation unique au monde, provenant du Lac Crater.
Formé il y a 7000 ans par les éruptions volcaniques du Mont Mazama, le Lac Crater est le plus profond du continent nord-américain (1 km) et le plus pur de tout l’hémisphère nord. Les instruments de mesure sont lisibles à une profondeur de 70 mètres. Quittant le Lac Crater à travers les différentes strates des montagnes Cascade, l’eau emporte une quantité de minéraux et de sels inorganiques que l’algue va absorber et transformer en composés organiques.
L’Algue bleu-vert Aphanizomenon Flos-Aquae produit également des composés inorganiques, favorisant la précipitation des carbonates. Elle a joué un rôle essentiel dans la production de calcaire, marne et magnésite que l’on retrouve dans les strates géologiques. Le fond du Lac KLAMATH est d’ailleurs constitué d’une épaisse couche de sédiments qui confèrent au lac un équilibre électrique idéal. Ajoutée à la richesse minérale de l’eau du Crater Lake, cette couche d’environ dix mètres de colloïdes minéraux confère au Lac KLAMATH un potentiel zêta des plus élevés sur la planète. Dans nos corps, comme dans le lac KLAMATH, le potentiel zêta préside aux réactions biochimiques et enzymatiques dans la production des acides aminés, c’est pourquoi ces algues bleue-vertes présentent le profil nutritionnel le plus proche des besoins humains.
Le Lac Crater préside au miracle Aphanizomenon Flos-Aquae. Avec sa colonne d’eau d’environ 1 km, le Lac Crater est le plus grand et le plus puissant système de percolation de la planète. L’eau qui ressort de la terre après des kilomètres de parcours à travers les roches volcaniques est d’une richesse minérale incroyable et d’une pureté absolue.
Wood River et Williamson River sont les deux affluents principaux du Lac KLAMATH, approvisionnant ce dernier en eaux de sources porteuses de phytoplancton et de tout l’éventail des cendres volcaniques en provenance du Lac Crater.
Le Lac KLAMATH est également le théâtre d’une vie sauvage très diversifiée, tant pour la flore que pour la faune. Le versant nord-ouest, habité par l’aigle à tête blanche s’appelle justement bald eagle ridge. Symbole mythique des États-Unis d’Amérique ou de la marque Harley Davidson, cette espèce en voie de disparition à cause de la pollution de l’air se ressource grâce à l’algue du Lac KLAMATH. En effet, la pollution en CFC et pesticides notamment, entraîne chez cette espèce une incapacité à métaboliser le calcium due à une liaison du toxique avec le chélateur. Leurs os deviennent fragiles et, pire encore, les coquilles sont écrasées pendant la couvée, tuant les embryons.
Sauvés de la disparition par le miracle Aphanizomenon Flos-Aquae, les aigles à tête blanche ont fait de cette région leur refuge et leur habitat pendant toute la période de reproduction. Avec 900 spécimens, le bassin de KLAMATH est leur habitat principal après l’Alaska. Fortifiant, revitalisant, reconstituant de l’organisme par son apport nutritionnel quotidien en doses infimes, l’Algue KLAMATH se présente comme une des alternatives les plus sérieuses face aux carences, aux déséquilibres alimentaires et aux différentes pollutions de notre société. Parmi les algues bleues, l’AFA couvre un spectre qui va de l’alimentation la plus équilibrée à l’action pharmacologique la plus complète. Par ce lien de conciliation des domaines de la nutrition et de la pharmaceutique, elle est la reine incontestée de la nutracétique, et par son action régularisante elle convient aussi bien à l’hypotonique qu’à l’hyperactif, au sportif ou au convalescent, à l’enfant, l’adolescent, l’adulte ou le sénescent.
Sa vibration exceptionnelle en fait l’alicament par excellence.

BIENFAITS

  • Régule le métabolisme.
  • Stimule la digestion.
  • Entretient et nourrit les articulations.
  • Améliore la qualité des phanères (peau, ongles, cheveux).
  • Protège le système cardio-vasculaire.
  • Renforce les défenses immunitaires.
  • Empêche la réplication des virus. Lutte contre les radicaux libres.
  • Protège de toutes les formes de pollutions.
  • Accroît la résistance aux phénomènes radiants
  • Combat l’inflammation.
  • Stimule la régénération cellulaire.
  • Soutient et accélère les processus d’auto guérison.
  • Améliore les performances intellectuelles l’activité mentale et la mémoire.
  • Favorise la concentration.
  • Diminue le stress physique et émotionnel.
  • Augmente et améliore l’énergie à long terme.
EFFETS
  • Problèmes gastro-intestinaux.
  • Problèmes cardio-vasculaires, hypertension, hypotension, arthrites.
  • Hypercholestérolémie, hépatites, infections virales, dysfonctionnement des glandes endocrines.
  • Rhumatismes, fibromyalgie, sclérose en plaques, myasthénie.
  • Colites, obésité.
  • Dépression, acouphènes, traumatismes crâniens, déficit d’attention, enfants hyperactifs, troubles de la mémoire, fatigue chronique.
  • Diabète, hypoglycémie. Problèmes cutanés.
  • Asthme, allergies, rhume, grippe.
  • Empoisonnement aux métaux lourds, pollutions électromagnétiques, Alzheimer, Parkinson, stress, vieillissement et dégénérescence cellulaire, mauvaise immunité, épilepsie.
  • Dégénérescence maculaire de la rétine, cataracte, pression intra-occulaire, glaucome.
  • Cancer, sida, récupération de l’organisme et accélération de la guérison en cas de traitement médicamenteux (trithérapie, chimiothérapie, antibiothérapie, anxiolytiques…).
Il faut toutefois garder à l’esprit que ces données relèvent d’observations personnelles, qu’elles n’ont pour la plupart pas fait l’objet de recherches approfondies et que certaines concernent des cas isolés. Il en ressort néanmoins une capacité d’amélioration générale de la santé.

POLLUTIONS ELECTROMAGNETIQUES, RADICAUX LIBRES ET VIEILLISSEMENT CELLULAIRE

Le plus grand producteur endogène de radicaux libres est le système immunitaire. En effet, les radicaux libres sont un des moyens utilisés par les patrouilles de leucocytes pour détruire les cellules malsaines. Un système immunitaire trop stimulé représente donc un facteur de vieillissement et d’inflammation.
Par bonheur, l’AFA renforce les défenses de l’organisme tout en combattant l’inflammation. Ainsi, elle permet d’optimiser les systèmes par une action régulatrice et stabilisante. Nécessaires lorsqu’ils sont contrôlés, les radicaux libres sont toxiques pour les cellules quand ils échappent au contrôle des anti-radicaux libres. Ils sont alors réellement libres de faire n’importe quoi, d’aller se fixer sur les sites actifs des métabolites, dénaturant les composés et perturbant les fonctions. Leur attaque entraîne la destruction des lipides membranaires, des mitochondries, des glucides, des protéines et des acides nucléiques, perturbant ainsi les transports ioniques, l’équilibre acido-basique et les fonctions du système enzymatique. Les conséquences sont le vieillissement prématuré des tissus, la dégénérescence (cancer) ou la mort de la cellule par alcalose ou acidose.
L’équilibre entre les radicaux libres et les enzymes qui les contrôlent peut être perturbé par des facteurs endogènes ou exogènes : déséquilibre fonctionnel, nutrition, équilibre acido-basique, tabac, pollutions, radiations ionisantes, etc. Parmi ces diverses pollutions, les radiations ionisantes (rayons UV, imagerie médicale aux rayons X et g, téléphones portables, etc) sont particulièrement agressives et doublement dangereuses.
Lorsqu’elles traversent la matière vivante, leur énergie est absorbée et donne lieu à deux types d’effets, un effet direct et un effet indirect. Le premier est la destruction des molécules. Les ondes arrachent des particules aux atomes, perturbent l’équilibre des charges électriques et dénaturent les molécules. Celles-ci, ainsi transformées, deviennent des radicaux libres susceptibles de créer des cascades de réactions à la recherche d’un état stable.
Ces processus entament généralement la destruction des membranes cellulaires. Lorsque les chromosomes et les gènes sont touchés, leur mutation entraîne la mort cellulaire, dans le meilleur des cas. Si la cellule survit, cette transformation est responsable d’aberrations génétiques et de cancers. L’effet indirect, qui se mesure sur l’eau des tissus, va du simple réchauffement à la production d’ions H+ et OH-, entraînant des perturbations de l’équilibre acidobasique (PH), ainsi que des réactions en chaîne de radicaux libres.
Les éléments qui agissent de façon concomitante dans les processus de contrôle des radicaux libres sont les vitamines A, C, E, le cuivre, le zinc et le sélénium. Renfermant tous ces précieux éléments, l’AFA constitue ainsi une excellente protection contre ce type d’agressions, ce qui en fait un agent anti-vieillissement exceptionnel. Combinée à la radio oncologie, elle permet de réparer les dégâts causés par l’irradiation de certains cancers en régénérant le sang et les tissus.

POLLUTION CHIMIQUE, PESTICIDES, METAUX LOURDS

L’Algue bleue est la plus ancienne forme de vie apparue sur la planète.
Ayant traversé les époques sans aucun changement, elle est sans doute aussi la plus résistante, notamment aux microbes, avec qui elle vit généralement en symbiose, et surtout à la pollution. Elle constitue ainsi le plus puissant agent de chemoprotection (de l’anglais: protection contre les poisons chimiques).
En conséquence de la spécificité des substrats, les molécules porteuses des enzymes, on doit s’attendre à trouver des substances stériquement assez proches pour s’associer en ses lieu et place à l’enzyme, sans toutefois être transformées.
Si cette association est réversible, de tels « analogues de substrats » entrent en compétition avec le substrat vrai pour sa fixation et provoquent une inhibition compétitive de la réaction.
C’est le cas par exemple pour l’aigle d’Amérique, chez lequel certains pesticides se substituent au chélateur du calcium et en bloquent le métabolisme. Le mécanisme par lequel l’AFA empêche ce phénomène est la combinaison de ses macromolécules, principalement des polysaccharides et des pigments, aux agents contaminants, favorisant ainsi leur élimination de l’organisme.
Ces poisons métalliques et autres agents toxiques sont présents dans l’atmosphère et dans l’alimentation. Les métaux lourds, les métaux radioactifs, les pesticides et engrais chimiques, par exemple, font partie de ces composés particulièrement dangereux pour l’organisme. Les métaux lourds se déposent dans les tissus, les empoisonnent, ralentissent et perturbent leurs fonctions, notamment dans le foie et dans les reins.
Plusieurs espèces de micro algues ont démontré une capacité de fixation de ces substances et leur élimination l’organisme (Holan, 1993; Vymazal, 1984; Volesky, 1995). Une recherche scientifique a mis en évidence leur fonction de protection des reins contre la toxicité de certains métaux lourds (Fukino, 1989). Un polysaccharide présent dans les membranes cellulaires des micro algues favorise la fixation et l’élimination des pesticides dans les intestins (Pore, 1984).
Les mêmes propriétés ont été attribuées à la chlorophylle, ainsi qu’à la phycocyanine, le pigment des algues bleues particulièrement abondant dans l’AFA (Vadiraja, 1998). Les amalgames dentaires représentent une source de pollution constante dans l’organisme, à tel point que la pratique qui consiste à les remplacer par des céramiques et des résines est devenue très courante. Cette démarche s’accompagne généralement d’un drainage des organes grâce à des dilutions homéopathiques assez élevées des poisons métalliques.
Grâce à sa tunique de cellulose indigeste, cette dernière fixe les poisons métalliques que les autres composés drainent des organes et les élimine par le tractus digestif. Ayant eu connaissance des procédés du Docteur Klinghardt, nous avons testé la formule en remplaçant la chlorelle par l’AFA.
Les résultats ont été au delà de nos espérances. En effet, non seulement l’AFA réalise le même travail à un dosage 10 fois moindre que la chlorelle, mais de surcroît, elle va chercher les métaux dans les tissus et les organes, cerveau y compris, alors que la chlorelle n’agit que dans les intestins.
Cette différence est probablement due au fait que l’AFA a une action synergique de plusieurs composés, alors que la chlorelle est intéressante pour son taux de chlorophylle, ses polysaccharides et ses membranes de cellulose indigeste. La chlorelle, par exemple, ne contient pas de phycocyanine, le pigment exclusif des algues bleues qui semble être d’une importance non négligeable dans ces processus de détoxination en profondeur.

TABAGISME, ALCOOLISME, TOXICOMANIE

D’une façon générale, le tabac est nocif pour la santé. Certaines thèses, financées par des compagnies telles que Morobral Malbaré, en démontrent pourtant l’avantage dans la production de dopamine par les ganglions de la chaîne parasympathique. Cet effet tant recherché est responsable de la double sensation de détente et de stimulation, une synergie qui permet au fumeur d’expérimenter simultanément calme émotionnel et vigueur mentale.
Malheureusement, le prix de cette illusion se paie cher à bien d’autres titres. Je ne parle évidemment pas des sommes colossales qui partent en fumée et qui représentent par ailleurs une grosse partie de la santé économique puisque les fumeurs meurent tôt et rapportent doublement à la collectivité. Il s’agit ici d’un autre prix, et dans ce cas les monnaies d’échange se mesurent en radicaux libres, en métaux lourds, en destruction des vitamines et des composés indispensables au métabolisme conduisant à une entrave progressive de toutes les fonctions vitales.
Si l’Algue combat tous ces méfaits et constitue sans doute une aide précieuse, ce Dieu procaryote ne peut toutefois pas prendre de décisions à notre place. Les paramètres sont identiques en ce qui concerne l’alcool et l’usage intempestif d’autres drogues. Certaines traditions ont pourtant utilisé ces substances psychotropes à des fins d’élévation spirituelle et de connaissance de soi. Malheureusement, la société occidentale en mal de consommation en a fait un vulgaire bien de plus, et les rites initiatiques et les liens sacrés qui devraient accompagner ces pratiques occasionnelles ont été déformés ou tout simplement perdus en chemin.
Plusieurs témoignages concernant des expériences de désaccoutumance mentionnent l’AFA comme une aide précieuse dans les processus de désintoxication physique et mentale.
Bien que n’ayant pas encore bénéficié des fonds nécessaires à une étude plus approfondie, l’AFA semble interagir dans le phénomène de modification de l’alcool déshydrogénase, ce qui pourrait expliquer la perte progressive de l’envie de boire rapportée par de nombreux repentants.
D’autre part, des expérimentations effectuées avec un extrait de phycocyanine pure et des substances psychotropes ont permis d’observer une synergie… stupéfiante !
La prise orale de phycocyanine à haute dose semble moduler l’effet psychotrope de drogues comme les amphétamines, le MDMA, la cocaïne, l’alcool ou le tétrahydrocannabinol (THC). Ces données permettent de penser que la phycocyanine a la faculté de réduire l’agitation incontrôlée de l’activité cérébrale.
Associée au nombreux autres facteurs, elle constituerait ainsi une sorte de régulateur émotionnel. L’extraction de ce pigment bleu faisant appel à des techniques fort coûteuses, le prix de cette substance pure est tout aussi exorbitant que les produits stupéfiants, ce qui compromet un peu son avenir pharmaceutique.
Consommé quotidiennement en petite dose dans l’AFA par contre, elle représente un moyen naturel de soutenir et d’accompagner la personne toxico-dépendante sur le chemin de son salut.

VIROLOGIE : MACROMOLECULES, CANCER ET SIDA

Au cours des nombreuses et interminables recherches sur le cancer, on remarqua l’intérêt primordial des macromolécules des algues bleues et dont l’AFA est particulièrement riche. Toutes ses macromolécules sont d’un grand intérêt, notamment dans la chemoprotection, mais les recherches les plus récentes semblent désigner les glycolipides comme des composés de toute première importance.
Plus particulièrement les sulfonoglycolipides et les phosphoglycolipides, ainsi que leurs macromolécules associées, les lipopolysaccharides. L’Algue bleue en renferme une quantité qui correspond à 1,5 % de leur poids sec.
Ces molécules complexes entrent dans la constitution des parois cellulaires, des enveloppes et des membranes.
En réalité, la division des nutriments en protides, lipides et glucides ne correspond pas tout à fait à la réalité des composés.
En effet, dans la nature, les relations entre les différents groupes donnent lieu à de complexes combinaisons moléculaires qui ne permettent pas de distinguer les composés de façon aussi précise.
La couche qui entoure le protoplasme des cellules hétérocystes, par exemple, est composée de glycolipides. La couche la plus externe des cellules d’AFA est un assemblage de polysaccharides non compactés, et l’enveloppe elle-même contient des polymères différents, dont des lipopolysaccharides.
Ces substances hétéro-polysaccharides, comme les glycoprotéines et les lipopolysaccharides sont courantes chez les algues. Dans les recherches sur le SIDA, les composés de la classe des sulfolipides ont démontré une capacité d’inhibition de la réplication in vitro d’un des virus responsables du SIDA, le HIV-l. (Gustafson, K. R, et al, 1989 – Boyde, M. R., et al, 1989).
Cette capacité concerne également de nombreux autres virus, comme le cytomégalovirus, le virus de l’influenza A, de l’herpès, de la rougeole et des oreillons (Gustafson, Boyde, Hayashi 1989).

STIMULATION DU SYSTEME IMMUNITAIRE

 Alors qu’elle stabilise et diminue la production de radicaux libres par les cellules polynucléées, l’AFA contient en revanche un polysaccharide capable de stimuler les macrophages de façon exceptionnelle.
Première ligne de défense du système immunitaire, les macrophages constituent le premier réflexe du corps lors de toute infection. L’AFA a la propriété unique de stimuler la migration de monocytes et de lymphocytes T et B.
Les cellules tueuses du système immunitaire sont un type de lymphocytes-T, programmées pour la détection et la destruction des cellules cancéreuses et des cellules infectées par des virus au sein des tissus de l’organisme.
Dans une étude réalisée en double aveugle sur 21 volontaires en bonne santé, il fut démontré que l’AFA stimule la migration de 40% des cellules tueuses 2H après l’ingestion (Jensen et al, 2000).
Une analyse plus approfondie révéla que cet effet était à peine détectable chez les nouveaux consommateurs alors qu’il s’accentuait avec le temps pour devenir maximal après quelques semaines de consommation quotidienne.
Plusieurs substances, comme le thé vert ou le ginkgo biloba, sont connues depuis longtemps pour stimuler l’activité des cellules tueuses du système immunitaire.
Par contre, jusqu’à cette récente découverte concernant l’AFA, aucune de ces substances n’était réputée stimuler leur migration dans les tissus de l’organisme pour y supprimer les cellules qui présentent des signes de transformation anormale ou celles qui sont infectées par un virus.
Les propriétés anti-mutagènes de l’AFA avaient déjà été mises en évidence (Lahitova, 1994), mais cette nouvelle découverte démontre non seulement la capacité de prévenir le cancer ou la précancérose des tissus, mais également les maladies associées aux infections virales.
Une récente étude comparative a révélé le profil glucidique et le potentiel immunostimulant des 3 micro algues les plus utilisées (aphanizomenon, spiruline, chlorella). Les résultats placent l’AFA en premier, suivie de la chlorella, et enfin de la spiruline. Pour un résultat identique, les concentrations respectives sont de 10 mg/ml (AFA), 25 mg/ml (chlorella), et 50 mg/ ml (spiruline).

PHENYLETHYLALAMINE ET SYSTEME NERVEUX

 Le témoignage le plus courant des consommateurs d’AFA à long terme est cette sensation générale d’énergie décuplée ainsi qu’une meilleure faculté de concentration. Plusieurs enfants en échec scolaire, souffrant de déficit d’attention, accompagné ou pas de syndromes d’hyperactivité, ont expérimenté une nette amélioration de leur condition, souvent au point d’interrompre leur traitement médicamenteux avec des drogues telles que le méthylphénidate.
D’autres ont stoppé leur traitement aux anti-dépresseurs après quelques mois de consommation d’AFA. Une étude conduite en collaboration avec l’Université du Nouveau-Mexique auprès de patients souffrant de traumatismes crâniens légers, a démontré grâce aux encéphalogrammes que l’AFA stimule l’activité cérébrale et favorise grandement certains processus de régénération.
Cette étude comparative démontra une nette diminution du temps de traitement lorsque celui-ci est combiné avec les algues à raison de 5 semaines pour un résultat identique à 5 mois de traitement conventionnel sans les algues.
Une étude rétrospective faite par l’Université de l’Illinois rapporte l’amélioration de plusieurs cas de dépressions, de déficit d’attention chez les enfants et de fatigue chronique. En général, l’effet des algues a un retentissement sur le bien-être, l’humeur et la qualité de vie.
Une récente analyse a révélé la présence de PhénylEthylAmine (PEA) dans l’AFA. Cet acide aminé produit par le cerveau est connu pour ses facultés d’amélioration de l’humeur. C’est un puissant agent anti-dépresseur qui joue en outre un rôle important dans la pathogenèse des déficits d’attention.
A propos de la dépression, il y a plus de vingt ans, il fut démontré que la quantité de PEA dans le cerveau des personnes dépressives était nettement diminuée en comparaison d’un individu normal, et que la prise orale de PEA avait pour effet de rétablir les conditions (Sabelli and Mosnaim, 1974).
Une diminution de PEA semble dès lors étroitement associée à certaines formes de dépressions. A cette même époque, on remarqua que la plupart des médicaments anti-dépresseurs agissaient en stimulant la production de PEA par le cerveau. D’après une étude comparative, la prise orale de PEA en consommant les algues a un effet spectaculaire dans 60% des cas.
Ces patients présentent une diminution des symptômes et ne développent aucune tolérance ni aucun des effets secondaires caractéristiques des thérapies aux antidépresseurs (nausée, fatigue, diminution de la libido, problèmes cardio-vasculaires, etc).
La PEA reste donc efficace avec le temps et ces patients auraient plutôt tendance à perdre le poids attribué aux thérapies conventionnelles(anti-dépresseurs, anxiolytiques). Déficit d’attention, hyperactivité des enfants : la synthèse de la PEA par le cerveau se fait à partir de deux autres acides aminés, la phénylalanine et la tyrosine.
Dégradée en acide phénylacétique par l’enzyme monoamine-oxydase, la PEA est éliminée dans l’urine. Or, la PEA et l’acide phénylacétique sont tout deux diminués dans l’urine des patients atteints de déficit d’attention, et les deux précurseurs de la PEA, la phénylalanine et la tyrosine, sont également nettement diminuées dans le plasma de ces patients.
L’hypothèse de la PEA sur le comportement affectif suggère que ce neuromodulateur endogène est responsable de l’excitation, de l’euphorie, ainsi que de l’état d’éveil et de vigilance. Structurellement proche des amphétamines et des catécholamines, la PEA induit des effets électrophysiologiques et de comportement dansns le traitement des déficits d’attention.
En tant que composé endogène du cerveau, la PEA n’engendre par contre aucune dépendance ni aucun effet secondaire typiques des médicaments traditionnellement utilisés dans le traitement des déficits d’attention. Ces derniers agissent d’ailleurs en stimulant la production de norépinephrine et de PEA.
Au stade préliminaire des plus récentes recherches, il semblerait qu’un concentré de PEA provenant d’un extrait d’AFA provoque une amélioration de la concentration et des performances intellectuelles dans les 10 minutes qui suivent l’ingestion (Jensen et al, 2001).
Bien que les grands pontes de la médecine industrielle déclarent que la dose contenue dans les algues n’est pas suffisante, la PEA contenue dans l’AFA représente assurément un moyen naturel sûr et efficace pour améliorer les conditions de personnes souffrant de déficit d’attention, comme le confirment les nombreux témoignages.
Amélioration générale de l’humeur : l’hypothèse de la PEA sur le comportement affectif suggère également que ce composé est responsable de l’expérience du plaisir, de l’euphorie amoureuse et de la libido.
Or, l’AFA ne contient pas seulement de la PEA, mais également ses 2 précurseurs, la phénylalanine et la tyrosine, 2 acides aminés essentiels, ainsi que du tryptophane, de la valine, lysine, leucine, isoleucine, de l’acide glutamique et une grande concentration d’acides gras oméga 3, qui sont autant d’aliments nécessaires au bon fonctionnement du cerveau.
Dans une étude réalisée sur des animaux, il a été démontré que la phénylalanine stimule grandement la production de PEA. Dans une autre étude, la phénylalanine s’est montrée efficace dans le traitement de patients dépressifs qui présentaient un taux d’acide phénylacétique bas dans les urines.
Prises dans leur ensemble, ces données semblent expliquer, ou du moins confirmer les milliers de témoignages enthousiastes concernant l’amélioration générale des facultés mentales et de l’humeur qu’engendre l’AFA.

ACIDES GRAS ESSENTIELS OMEGA-3 ET OMEGA-6

Une alimentation riche en acides gras essentiels, particulièrement en omega-3, est indispensable au bon fonctionnement des systèmes immunitaire, nerveux et cardiovasculaire.
Les acides gras, classés pendant un certain temps comme facteurs vitaminiques F, constituent un important facteur de croissance chez les enfants et représentent 60% de la matière du cerveau, au sein duquel ils assurent une bonne communication intercellulaire en favorisant la transmission et la réception de l’influx nerveux.
Transportés par des corps protidiques (vitamine B7, J, méthionine,…), ils sont indispensables à la bonne utilisation des vitamines liposolubles et constituent la base de nombreuses substances à activité hormonales (les prostaglandines) importantes dans la régulation de presque tous les processus de l’organisme.
Transformés en phospholipides directement assimilables au cours de la digestion, les acides gras interviennent au plan énergétique. Rapidement oxydés par le myocarde, ils constituent la principale source d’énergie du cœur. Leur importance primordiale en tant que facteur préventif de l’athérome (cholestérolémie, dépôt de gras dans les artères, plaques athéromateuses) a été mise en évidence depuis longtemps.
En effet, ce sont eux qui régulent le métabolisme des graisses et l’activité de la vésicule biliaire. Les acides gras jouent un rôle primordial dans la perméabilité osmotique des cellules.
Intervenant dans la constitution des membranes cellulaires et des enzymes, ils améliorent les échanges cellulaires et préviennent l’accumulation des déchets. Étant donné que le maintien de la santé est directement lié à la qualité de nos membranes cellulaires, ils sont essentiels au maintien de celle-ci, de même qu’à la qualité de la peau et des phanères, reflet extérieur d’une bonne santé. Ils sont saturés lorsque leur molécule ne peut plus fixer un nouveau corps.
Comme pour les acides aminés on distingue les essentiels (omega-3 & omega-6) et les non-essentiels qui constituent la réserve de matière pour les biosynthèses et la substance énergétique du coeur.
Ce sont des acides organiques composés de carbone, hydrogène et oxygène (comme tous les acides organiques) mais ne renfermant que quelques atomes d’hydrogène à fonction acide.
Ce sont donc des acides faibles qui peuvent encore fixer de l’hydrogène par catalyse, et ainsi se lier à d’autres molécules pour favoriser les échanges ioniques. Certains atomes de carbone possèdent des liens doubles, ce qui entraîne une modification spatiale de la molécule par rapport aux chaînes linéaires.
Cette différence d’organisation se répercute notamment sur la densité de ces corps gras en modifiant le point de fusion. Les appellations omega-3 & omega-6 désignent tout simplement l’atome de carbone sur lequel se trouve le premier de ces liens doubles, correspondant aux régions d’insaturation de la molécule.
Avec plus de 60% de son poids, l’Algue Bleue présente un des taux protéiques des plus élevés du règne végétal. C’est une protéine exceptionnelle, complète, de faible poids moléculaire, donc facilement assimilable.
Bien que les quantités des éléments cités ci-après soient nettement inférieures aux minimum vitaux fixés par les normes scientifiques, l’Algue d’eau douce APHANIZOMENON FLOS AQUAE reste un aliment naturel vivant des plus complets, parfaitement assimilé par l’organisme grâce à sa structure synergique parfaite, agissant comme un bio modulateur ortho-moléculaire.

COMPOSITION NUTRITIONNELLE

  • 13 protéines, 5 nucléotides, des mucopolymères.
  • Tous les acides aminés essentiels, semi-essentiels et la plupart des acides aminés non essentiels.
  • Des nucléoprotéides, structures de base de l’ADN et ARN.
  • De nombreux peptides, dont les neuropeptides qui renforcent et réparent les cellules nerveuses.
Tout un spectre d’hormones végétales, de pigments oxygénants et antioxydants, précurseurs des vitamines, des enzymes et coenzymes :
  • Du bêta carotène (provitamine A) l’Algue Bleue en contient 10 fois plus que les carottes.
  • De la lutéine, zeaxanthine, du lycopène et de l’aphanine, un caroténoïde unique à cette espèce.
  • De la chlorophylle : les algues en possèdent le taux le plus élevé de tous les aliments connus. Son pouvoir thérapeutique est due à sa capacité de stocker l’énergie solaire. En outre, sa grande ressemblance avec l’hémoglobine lui a valu le nom de “sang végétal“.
  • De la phycocyanine : proche des pigments biliaires humains, ce pigment bleu, qui protège l’algue de l’insolation, est un puissant anti-inflammatoire et antioxydant.
Une grande concentration en acides gras essentiels : principaux constituants de nos membranes cellulaires, les graisses poly-insaturées représentent l’étanchéité de nos cellules, fortifient nos veines et nos artères, luttent contre l’hypertension, préviennent les accidents cardio-vasculaires et de nombreuses autres maladies.
Des polysaccharides : l’Algue bleue en contient quelques unes, le plus souvent liées à d’autres composés pour former des macromolécules ainsi que des glucides tels que le mannose, rhamnose, ribose, galactose, glucose, fucose, xylose, arabinose qui jouent un rôle capital dans la fixation et l’élimination de nombreux agents contaminants comme les métaux lourds et les pesticides ainsi que dans la stimulation des macrophages.
Les vitamines A, C, E, F, J ainsi que celles du groupe B : B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, B12.
Des sels minéraux : calcium, magnésium, phosphore, potassium, sodium.
Des oligo-éléments : bore, chlore, chrome, cobalt, cuivre, étain, fer, fluor, germanium, iode, manganèse, molybdène, nickel, sélénium, silice, titane, vanadium, zinc.
Aucun adjuvant, ni cholestérol, ni sel.

AVEC PLUS DE 115 MICRO NUTRIMENTS L’ALGUE SAUVAGE APHANIZOMENON FLOS AQUAE REPRESENTE L ALIMENT LE PLUS COMPLET DE LA PLANETE

POURQUOI EN CONSOMMER ?
 
3 facteurs font de cette algue un aliment des plus riches :

1) Sa richesse en nutriments vitaux contenus dans 1 seul gramme.

2) Sa connexion avec toutes les autres formes existantes de vies.
3) La nourriture en tant que vibration : elle contient la vibration primordiale qui a démarré la vie sur notre planète.
 
Ce cadeau de la nature travaille harmonieusement sur tout ce qui est en déséquilibre dans l’organisme humain

COLO-HYGIENA®

VOTRE NOUVEAU PROGRAMME NUTRITIONNEL D’ELIMINATION ET DE RESTAURATION

Constitué de vitamines, minéraux et probiotiques

 

Depuis 2009, Normandy  & Ouest Vitamine C avaient choisi de distribuer une cure mise au point aux Etats-Unis pour la plus grande satisfaction des utilisateurs et en étaient par ailleurs le principal distributeur en France.

En mai 2014, la douane en bloque l’importation suite aux changements de la législation européenne sur les plantes.

Afin de répondre à la forte demande de leurs clients regrettant de ne plus avoir accès à cette cure à l’efficacité avérée, ils ont créé un produit inspiré de son prédécesseur et adapté à la législation française.

C’est ainsi qu’après une préparation scrupuleuse mais fructueuse de près de 2 ans, COLO-HYGIENA® a vu le jour.

Cette démarche leur a permis de mieux maitriser son fonctionnement et d’y apporter certaines améliorations.

En effet, l’efficacité de ce programme repose sur l’équilibre entre nettoyage et réensemencement.

Pendant sa durée (14 jours), l’ingestion de probiotiques de très haute qualité et en quantité adaptée permet d’adoucir l’élimination tout en garantissant au final un système digestif revigoré.

L’efficacité des probiotiques repose sur 3 éléments : leur qualité, leur quantité au départ et celle résiduelle au moment de l’utilisation.

Ce programme est destiné à toute personne désireuse de procéder à une détoxination intestinale.

14 jours en 3 étapes : 7 jours de préparation et de drainage, 4 jours d’élimination profonde et 3 jours de réensemencement en 3 étapes pour être en harmonie avec les fonctions corporelles permettant d’assumer une activité quotidienne normale. La durée du programme peut et doit être modulée en fonction des réponses de l’organisme.

C’est avant tout un ensemble de produits agissant en synergie pour libérer les intestins et le corps de ses déchets et c’est ce nettoyage qui va permettre au corps de rétablir ses fonctions car étant plus propres, chaque organe va mieux fonctionner, puisque cette méthode va d’une part contribuer à ramollir, décoller et éliminer la croûte qui s’est formée au cours des années dans tous les replis du tractus digestif et d’autre part aider à réguler la porosité de certaines parties de l’intestin.

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« Consommer n’importe quel produit à n’importe quelle saison entraîne un déséquilibre à son système digestif auquel on impose des molécules alimentaires pour lesquelles il ne dispose pas d’enzymes.
Or ce qui ne se digère pas, fermente et se putréfie installant à la longue un déséquilibre de l’écosystème intestinal. De ce fait, la production de vitamines B2, B5, B9, B12, H, K est perturbée comme l’absorption des nutriments. De plus, l’acide propionique, électif et sélectif de la flore bifide, est détruit par certains additifs alimentaires, conservateurs & médicaments, notamment les antibiotiques.
Dans un 1er temps s’installe la porosité intestinale rendant aléatoire la filtration de toxines, d’agents pathogènes et de grosses molécules alimentaires qui passent dans le sang et dans la lymphe. Dans un second temps se forme un croute intestinale empêchant physiquement une bonne assimilation.
Ces désordres sont responsables de 80% de nos pathologies.
Le nettoyage intestinal est alors une solution pour restaurer l’équilibre perdu. » G.Desardennes

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Si nous sommes tous conscients de la nécessité de nettoyer régulièrement nos lieux de vie, qu’en est-il de la propreté de notre organisme ?

Comme nous accumulons toutes sortes de choses dans nos maisons, nous stockons également quantité de déchets, de toxines dans notre corps. Afin de nettoyer l’organisme, de rééquilibrer notre capital santé et d’assainir le milieu intestinal, la Naturopathie propose plusieurs méthodes :

  • Le drainage par les plantes
  • Le jeûne
  • Les lavements
  • L’irrigation colonique.

Il nous parait intéressant de proposer un produit alliant désincrustage profond de l’organisme tout en étant respectueux de l’aspect nutritionnel.

COLO-HYGIENA® se présente sous la forme d’une cure de 14 jours.

Il va agir en douceur pour ramollir, décoller et éliminer la croûte qui s’est formée au cours des années dans tous les replis du tractus digestif (estomac, duodénum, intestin grêle et côlon).

Sans recours aux lavements ni aux irrigations coloniques qui n’offrent qu’un nettoyage ciblé du gros intestin, COLO-HYGIENA® VOUS AMENE UNE REELLE LIBERATION PHYSIQUE ET EMOTIONNELLE

L’intérêt de cette cure est multiple : douceur, efficacité, facilité d’utilisation, libération physiques des miasmes psychologiques.

Un livret d’utilisation vous est remis lors de l’achat du coffret.

   

LE RÔLE DES INTESTINS

Notre fonction intestinale est en lien étroit avec notre vie émotionnelle :

  • Sur le plan physiologique, l’activité intestinale permet, d’une part, l’assimilation des nutriments (revitalisation), l’élimination des déchets (détoxication) et la lutte contre les agresseurs (immunité). D’autre part elle régule et libère en temps réel les tensions nerveuses retenues (psychopéristaltisme). La gestion plus ou moins harmonieuse des stress sera donc, en plus des éventuels déséquilibres alimentaires et de la sédentarité (absence d’exercice physique), un facteur déterminant pour l’équilibre intestinal et digestif
  • Sur un plan énergétique plus subtil, nos intestins se situent dans une zone intermédiaire entre notre plexus solaire et notre centre vital (ou hara) situé au niveau du périnée. Ils se trouvent donc en relation intime avec nos désirs, l’affirmation de soi et tout ce qui a trait à notre vie émotionnelle : non-dits, refoulements, vécu passé non accepté, émotions non exprimées, Ils sont aussi en lien avec une intelligence de vie beaucoup plus instinctive et intuitive.

On parle d’ailleurs de second cerveau pour nos intestins. Nous avons tous expérimenté cette liaison énergétique lors d’un choc émotionnel ou d’une contrariété importante : l’estomac alors se noue, la digestion est ralentie, les spasmes ou colites apparaissent.

Prendre soi de son hygiène digestive et intestinale est aussi un moyen très efficace pour harmoniser la relation entre nos intestins et nos émotions.

On n’imagine jamais assez à quel point notre corps peut accumuler de matières toxiques dans ses cellules, tissus et organes. Tous ces déchets entravent le bon fonctionnement d’où la maladie. Les intestins sont les organes les plus sales de notre organisme et 90% des maladies viennent de ce problème. Les intestins, qui pourraient être comparés à une usine à filtration, sont en fait devenus un véritable dépotoir.

En voici un aperçu! (Merci à Bioperfection et Laurent L’Ecuyer pour les photos! )

PROGRAMME

  • PHASE 1 : PRÉPARATION (7 jours) : Les compléments alimentaires vont activer le processus d’élimination des toxines, des parasites, des métaux lourds et autres contaminants du corps
  • PHASE 2 : ÉLIMINATION (4 jours) : L’élimination va s’intensifier pendant cette phase. La poudre va agir comme une éponge pour désincruster la paroi intestinale
  • PHASE 3 : RESTAURATION (3 jours) : L’apport de lactobacilles et d’enzymes contenus dans les sachets de compléments alimentaires.va restaurer l’équilibre digestif.

Cette cure est la plus facile et la plus efficace des cures intestinales existantes. Elle comprend des herbes, vitamines et minéraux sélectionnés scientifiquement pour faire le travail. Elle a été conçue pour générer dans le corps un effet de nettoyage graduel. Cela s’effectue en 3 étapes : préparation, nettoyage et restauration qui sont en complète harmonie avec les fonctions corporelles de sorte qu’il y ait le moins d’interférence possible avec une activité quotidienne normale.

Tous les témoignages jusqu’ici obtenus sont unanimes sur le regain d’énergie qu’apporte cette cure, la légèreté ressentie et sur le travail effectué au niveau des miasmes émotionnels…

Concernant les allergies, celles-ci existent en partie parce que l’organisme est surchargé de toxines. Le corps réagit alors défensivement : ce que nous appelons une allergie. Ainsi la cure va aider à sortir les toxines. Par ailleurs, certaines rares personnes peuvent être allergiques à des ingrédients de la cure. Dans ce cas là, il vaut mieux ralentir ou arrêter la cure selon l’importance du symptôme ou enlever l’ingrédient auquel on croit être allergique.

La cure ne contient pas de gluten. Le fait de faire la cure va aider l’intestin à éliminer le gluten accumulé. De même les personnes suivant un régime sans sel peuvent faire la cure.

En conclusion, COLO-HYGIENA® est un ensemble de produits agissant en synergie pour libérer les intestins et le corps de ses déchets et c’est ce nettoyage qui va permettre au corps de rétablir ses fonctions puisqu’en étant plus propres, chaque organe va mieux fonctionner.

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Vous pouvez contacter NORMANDY et/ou OUEST Vitamine C afin d’obtenir plus d’informations et conseils concernant cette cure.

Également disponible aux Éditions Lourex, les DVD « Planète Corps » & « le ventre, notre deuxième cerveau ».

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« De plus en plus de spécialistes du domaine de la santé sont convaincus que le dysfonctionnement intestinal et l’obstruction du côlon sont des facteurs importants de maladie. Ce programme populaire, divisé en trois phases, simplifie le nettoyage des intestins et favorise l’élimination des toxines.

Cette préparation contient des vitamines, des minéraux, des extraits de plantes, des probiotiques et des enzymes digestifs dont la prise quotidienne vous aidera à désintoxiquer et à nettoyer le petit et le gros intestin et à rétablir la fonction normale des voies digestives.

Cette cure est une combinaison d’ingrédients de la plus haute qualité, sélectionnés selon les recherches en nutrition les plus avancées. Ils sont naturels ou issus de source naturelle bien que certains éléments non naturels aient été ajoutés dans un but de conservation. Nous avons choisi de promouvoir cette cure car les résultats et les bienfaits qu’elle procure sont exceptionnels.

Notre corps possède quatre émonctoires. Ce sont les organes d’élimination : les intestins, les reins, la peau et les poumons.

Si un de ces organes fonctionne au ralenti, le corps va éprouver des difficultés à s’autonettoyer et ainsi, le fardeau des autres émonctoires sera plus lourd. À la longue, ceux-ci vont s’épuiser, entraînant une auto-intoxication générale, la maladie et la mort.

La nature dans sa sagesse a prévu ce processus autonettoyant. Cependant, si on nuit continuellement à son travail, elle ne pourra réussir. Heureusement, on peut l’aider en lui fournissant ce dont elle a besoin : aliments sains, herbes, eau, air, soleil, exercice, repos, pensées harmonieuses etc… » (L.L’Ecuyer)

 

 

 

 

Les Enzymes digestives…

…face à l’intolérance au gluten

C’est quoi ?

Les enzymes sont des protéines qui peuvent avoir 2 fonctions :

  1. Permettre la synthèse des molécules indispensables au bon fonctionnement de notre organisme et ceci à une température acceptable pour notre survie, c’est à dire environ 37°.
  2. Découper en petits morceaux assimilables les protéines, sucres et lipides que nous ingérons; c’est la digestion.

Les enzymes digestives ont en général un nom se terminant en « ase ». Celui-ci dépend de la molécule qu’elles transforment.

Par exemple, les protéases digèrent les protéines; les lipases, les lipides; les amylases, l’amidon et les sucres en général.

Dans le cas du gluten, on a affaire à une « grosse » protéine issue de céréales qui doit être découpée en molécules suffisamment petites, c’est à dire en acide aminés, pour être assimilée.

Si pour une raison quelconque, comme une trop grande ingestion de gluten par rapport à la quantité d’enzymes disponibles ou la modification du milieu (PH de l’estomac), la gliadine identifiée comme la partie allergisante du gluten va pénétrer dans notre organisme et provoquer des dégâts comme :

  • la production de cytokines pro-inflammatoires et la production de dérivés opioïdes qui vont chacun avoir des effets négatifs sur notre santé et qualité de vie.
  • Diarrhée, constipation
  • Douleurs intestinales et articulaires
  • Porosité intestinale (Leaky Gut)
  • Fatigue
  • Etc…

 

Comment ça marche ?

Le gluten est une grosse protéine qui sert de colle naturelle dans l’industrie agro alimentaire (pain, plats préparés, etc…) et qu’il faut découper en acides aminés pour être absorbée sans danger.

Cette opération digestive se fait en 3 étapes :

  1. Une protéase, la pepsine qui va pré-découper le gluten. Celle-ci pour être efficace, a besoin de l’acidité de l’estomac. Le travail de découpe des « gros morceaux » de gluten va être complété dans l’intestin grêle par la trypsine & ses homologues.
  2. Une autre enzyme appelée DPPIV (dipeptil-peptidase 4)  va s’attaquer, au niveau des microvillosités de l’intestin grêle, aux polypeptides de gliadine.
  3. La dernière enzyme va découper les acides aminés encore associés, en mono-substances parfaitement assimilables et non allergènes.

Pour digérer le gluten, il faut donc 3 étapes et si la 1ère est éliminée, le corps se retrouve dans la situation d’un jardinier qui doit tailler une haie avec des ciseaux de couturière… Bon courage!

 

C ‘est pour qui ?

Un patient souffrant d’un intolérance au gluten doit supprimer le gluten de son alimentation…. Plus facile à dire qu’à faire !!!

En effet, on trouve du gluten partout ou quasiment partout ! C’est une des molécules favorites des industriels de l’agro-alimentaire. Même pour les personnes qui sont attentives à leur alimentation, il n’est pas forcément facile d’avoir la garantie qu’on ait éliminé 100% du gluten de celle-ci. De plus, la vie sociale des intolérants au gluten peut parfois être difficile à gérer.

Ce sont ces personnes qui peuvent consommer des enzymes digestives de substitution contre les réactions dues à l’ingestion de gluten.

Comment les utiliser ?

L’utilisation d’enzymes « anti-gluten » est simple : 1 gélule avant ou pendant le repas.

Le conseil d’un Biologiste

Les enzymes digestives disponibles sont d’origine animale ou végétale. Il faut privilégier les enzymes végétales car elles agissent en principe quelque soit le pH et ne sont pas détruites par l’acidité de l’estomac. Il faut également s’assurer que les enzymes conseillées sont au nombre de 3 (protéase, DPPIV & aminopeptidase) pour une digestion efficace du gluten.

 

 

 

 

 

Alex JONES : Les banquiers ou bien nous…

Corruption et fraudes voulues par les sociétés secrètes !

CONVERSATION entre Mr Système & Mr Bancaire :

– « Qui va gagner d’après toi? »

– « Cela ne fait aucune différence. Nous avons le contrôle de la création de la monnaie, donc nous avons le pouvoir ! Le gagnant continuera à suivre nos ordres ! »